#WrestlePontevedra

Les demi-finales de la sixième journée des Championnats du monde U23

By Vinay Siwach

PONTEVEDRA, Espagne (22 octobre) -- Les championnats du monde U23 entrent dans leur sixième journée, la dernière journée complète du tournoi avec cinq catégories de poids en lutte libre. Les lutteurs de 61kg, 74kg, 86kg, 92kg et 125kg seront en action.

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Demi-finales pour la session du soir

61kg
Ramaz TURMANIDZE (GEO) vs. Arsen HARUTYUNYAN (ARM)
Taiyrbek ZHUMASHBEK UULU (KGZ) vs. Emrah ORMANOGLU (TUR)

74kg
Temuri BERUASHVILI (GEO) vs. Mohmmadsadegh FIROUZPOUR (IRI)
Vasile DIACON (MDA) vs. Khadzhimurad GADZHIYEV (AZE)

86kg
Trent HIDLAY (USA) vs. Ivan ICHIZLI (MDA)
Tatsuya SHIRAI (JPN) vs. Evsem SHVELIDZE (GEO)

92kg
Miriani MAISURADZE (GEO) vs. Jacob Thomas CARDENAS (USA)
Feyzullah AKTURK (TUR) vs. Amirhossein FIROUZPOUR (IRI)

125kg
Alisher YERGALI (KAZ) vs. Amirreza MASOUMI (IRI)
Yurii IDZINSKYI (UKR) vs. Solomon MANASHVILI (GEO)

15:10 : Dans le dernier combat de la session, Amirhossein FIROUZPOUR (IRI) en demi-finale avec une victoire 12-0 sur Tejvir BOAL (CAN).

14:55 : Arsen HARUTYUNYAN (ARM) avec une victoire 9-3 sur Assyl AITAKYN (KAZ) et le champion du monde en titre est de retour en demi-finale des 61kg.

14:40 : Le champion du monde en titre Mukhammed ALIIEV (UKR) est à terre. Evsem SHVELIDZE (GEO) a d'abord fait 5-4 et quand Aliiev a essayé de marquer un stepout, Shvelidze a contré avec un takedown. Un gros chest lock pour quatre et un tombé.

14:30 : Temuri BERUASHVILI (GEO) remporte une victoire éclatante en 74kg contre David CARR (USA) en quart de finales. Carr menait 3-2 quand Beruashvili a marqué un stepout à 11 secondes restantes. Carr essaie d'obtenir un stepout mais Beruashvili fait demi-tour et Carr ne peut pas marquer le takedown non plus. Un challenge perdu fait 4-3.

14:28 : Trent HIDLAY (USA) avec une autre victoire contrôlée. Il se qualifie en demi-finale des 86kg avec une victoire 6-0 sur Maksat SATYBALDY (KAZ). Un fort arm-trap pour le 4 points au début de la première période.

14:22 : Miriani MAISURADZE (GEO) est en demi-finale des 92kg. Sergey SARGSYAN (ARM) avait construit une avance de 8-0 sur Maisuradze mais la seconde période a été une histoire complètement différente. Sargsyan a marqué trois takedowns avant qu'un leg lace lui permette une victoire 16-8.

14:10 : Andrii DZHELEP (UKR) et Emrah ORMANOGLU (TUR) ont fait le show dans ce quart de finale des 61kg. Ormanoglu menait 3-2 avant un takedown et quand Dzhelep l'a mis au corps, Ormanoglu a contré avec une puissante projection pour étendre son avance à 7-2, un score qui lui permet de gagner.

14:00 : Feyzullah AKTURK (TUR) avec une solide victoire 10-0 sur le médaillé d'argent d'Europe U23 Johannes MAYER (GER). Il se qualifie en quart de finale des 92kg contre Gkivi BLIATZE (GRE). 

13:40 : Deux grosses pertes pour les USA leur font mal pour la course par équipe. Taiyrbek ZHUMASHBEK UULU (KGZ) bat Aaron NAGAO (USA) 9-0 en 61kg et Manashvili gagne 16-4 contre Cassioppi en 125kg.

13:34 : Anthony CASSIOPPI (USA), le champion du monde en titre en 125kg, est opposé à Solomon MANASHVILI (GEO) et en difficulté. Manashvili construit une avance de 8-2 avant que Cassioppi tente un headlock mais échoue. Manashvili mène 12-4 à la pause.

13:30 : Andrii DZHELEP (UKR) le fait, cela semble si facile. Il gagne 11-4 contre Kodai OGAWA (JPN) et passe en quarts en 61kg.

13:15 : Assyl AITAKYN (KAZ) montre comment on fait face à Armin HABIBZADEH (IRI). Le lutteur kazakh fait des mouvements rapides contre un Habibzadeh très défensif pour gagner 9-1. Il affrontera le champion en titre Arsen HARUTYUNYAN (ARM) en quarts.

13:00 : En 125kg, Alisher YERGALI (KAZ) est un grand prétendant pour remporter l'or. Il est en 1/8 de finale contre Vakhit GALAYEV (AZE). 

12:20 : Le champion du monde U20 Amirreza MASOUMI ((IRI) fait monter la température ici. il s'impose 11-0 sur Adil MISIRCI (TUR) et passe en quarts de finale des 125kg.

12:00 : Amirhossein FIROUZPOUR (IRI) est à un niveau différent de cette catégorie d'âge des championnats du monde. Il bat Rizabek AITMUKHAN (KAZ) 11-2 et avance en 92kg. Il n'en n'a pas terminé avec les championnats du monde U23.

11:50 : Un autre champion du monde en titre début avec une victoire. Arsen HARUTYUNYAN (ARM) enlace les jambes de Yousef EISSA (EGY) pour démarrer en 61kg.

11:35 : Le champion du monde en titre en 86kg Mukhammed ALIIEV (UKR) était mené 9-5 contre Ivars SAMUSONOKS (LAT) au début du combat mais Aliiev s'est repris et à marqué 14 points pour gagner 19-9 et se qualifier.

11:00 : C'est le début de journée que nous attendions. Sajjad GHOLAMI (IRI) a construit une avance de 6-0 mais Trent HIDLAY (USA) n'a jamais cessé de revenir sur lui. Gholami a finalement ressenti la pression et s'est incliné 13-6 en 86kg.

10:30 : Bienvenue à la sixième journée des Championnats du monde U23, alors que les cinq dernières catégories de poids du style libre entrent sur le tapis. Nous passerons directement aux qualifications après le repêchage.

Women's Day

Journée de la femme : 10 moments qui ont marqué la lutte féminine

By Taylor GREGORIO

CROSIER-SUR-VEVEY, Suisse (8 Mars) -- Tout au long de l'histoire de la lutte, des efforts ont été faits pour rendre le sport plus inclusif. La lutte féminine est devenue la première priorité d'United world Wrestling.

Au fil des années, l'organisation a pris diverses mesures pour élever et améliorer le niveau de la lutte féminine dans le monde. Voici dix moments qui ont changé la lutte féminine.

1987 – Premiers championnats du monde de lutte féminine

tandis que la Gréco-Romaine et la libre ont une longue histoire de championnats du monde, les femmes ont eu leur première chance de remporter des titres mondiaux en 1987 quand les premiers championnats du monde féminins ont été organisés. Le tournoi inaugural a eu lieu à Lorenskog en Norvège avec neuf catégories de poids.

Un total de 48 lutteuses ont participé à ces championnats du monde.

Les championnes de l'édition étaient Brigitte WEIGERT (BEL) en 44kg, Anne HOLTEN (NOR) en 47kg, Anne HALVORSEN (NOR) en 50kg, Sylvie VAN GUCHT (FRA) en 53kg, Isabelle DOURTHE (FRA) en 57kg, Ine BARLIE (NOR) en 65kg, Georgette JEAN (FRA) en 70kg et Patricia ROSSIGNOL (FRA) en 75 kg.

1989 – Premiers championnats du monde combinés

Deux ans après ses débuts mondiaux, la lutte féminine a partagé la scène avec les deux autres styles. Des championnats du monde combinés ont été organisés à Martigny en Suisse.

Outre la participation de lutteurs de la plupart des pays européens, des lutteurs du Japon, de Chine, de Chine Taipei, du Vénézuéla , et de USA  ont également participé à cette compétition. 

53 lutteuse ont pris part à cette compétition dont les championnes Shoko YOSHIMURA (JPN) et Ming-Hsiu CHEN (TPE).

Depuis lors, les championnats du monde de lutte féminine ont été organisés chaque année, sauf en 2004, année des Jeux olympiques d'Athènes.

2004 – La lutte féminine fait ses débuts olympiques à Athènes

Avec l'élan donné à ce sport, la lutte féminine a été présentée sur la plus grande scène du monde lors des Jeux olympiques d'Athènes en 2004. Avec quatre catégories de poids, 11 pays différents étaient représentés aux Jeux et sept d'entre eux ont remporté des médailles, dont des médailles d'or pour le Japon, l'Ukraine et la Chine.

2013 - Passage de quatre à six catégories de poids aux Jeux Olympiques

En 2013, la lutte a reçu la nouvelle dévastatrice qu'elle risquait d'être retirée du programme olympique. L'UWW a réagi rapidement en apportant les changements nécessaires au sport, notamment l'égalité des sexes et l'augmentation des poids des femmes de quatre à six. Cela a finalement contribué à assurer la place de la lutte en tant que sport olympique de base.

Ce changement a été mis en œuvre lors des Jeux de Rio en 2016, où la gréco-romaine, le style libre et la féminine avaient chacun six catégories de poids. Auparavant, la gréco-romaine et le style libre comptaient chacun six catégories de poids, tandis que les femmes en comptaient quatre.  

2015 – Yoshida remporte son 13ème titre mondial

Lors des Championnats du monde 2015 à Las Vegas, aux États-Unis, Saori YOSHIDA (JPN) a établi une barre qui n'a pas encore été franchie. Elle a remporté son 13e titre mondial consécutif, de 2002 à 2015, dont 11 en 55 kg et les deux derniers en 53 kg.

Lors des championnats du monde, Yoshida était invaincue. En plus d'un nombre exceptionnel de titres mondiaux, Yoshida a également remporté trois médailles d'or olympiques en quatre tentatives.

2016 -- Icho à remporter quatre médailles d'or olympiques

Aux Jeux olympiques de Rio 2016, Kaori ICHO (JPN) a acquis un statut légendaire en devenant la première athlète féminine à remporter quatre médailles d'or olympiques. Pour cette victoire historique, Icho a battu Valeriia KOBLOVA (RWF), 3-2, dans la finale des 58 kg.

La première médaille d'or olympique d'Icho a été remportée contre Sara MC MANN (USA) en 63kg aux Jeux Olympiques de 2004. Après avoir remporté son deuxième titre olympique aux Jeux de Pékin 2008 contre Alena KATACHOVA (RUS) en 63 kg, Icho a envisagé de prendre sa retraite mais a continué à participer à deux autres Jeux olympiques, dont une victoire en 2012 contre Rui Xue JING (CHN), toujours en 63 kg. Au total, Icho est resté invaincue au niveau international de 2003 à 2016, avec un forfait en 2007.

2016 -- Amri devient la première africaine à remporter une médaille olympique

Les Jeux olympiques de Rio ont été marqués par un autre moment important lorsque Marwa AMRI (TUN) est devenue la première lutteuse africaine à remporter une médaille olympique. Elle a remporté la médaille de bronze dans la catégorie des 58 kg.

Dans le combat pour la médaille de bronze, Amri a battu Yuliya Ratkevich (AZE), 6-3, après avoir exécuté un tir à quatre points à 10 secondes de la fin du combat.

Un an plus tard, Amri est devenu la première Africaine à atteindre la finale des Championnats du monde 2017 à Paris. Le même jour, Odunayo ADEKUOROYE (NGR) a réalisé le même exploit en atteignant la finale des 55kg.

2018 - Les Jeux olympiques de la jeunesse atteignent la parité hommes-femmes

Dans un effort pour devenir plus équitable, la lutte a augmenté le nombre de participantes à Buenos Aires à 50, contre 32 à Singapour 2010 et Nanjing 2014.  Avec ce nombre, le nombre de participantes à la lutte féminine était égal à celui de la lutte libre et de la lutte gréco-romaine. 

Cet ajustement s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par le Comité International Olympique pour atteindre son objectif de faire des Jeux olympiques de la jeunesse de 2018 les premiers Jeux de l'égalité entre les hommes et les femmes

2021 -- Mensah Stock devient la première femme noire à remporter l'or olympique

Après un titre mondial en 2019, Tamyra MENSAH STOCK (USA) était la favorite pour remporter la couronne en 68kg aux Jeux Olympiques de Tokyo. Comme prévu, elle a atteint la finale à Tokyo contre Blessing OBORUDUDU (NGR).

Le match revêtait une grande importance car c'était la première finale olympique dans l'histoire de la lutte à présenter deux femmes noires et garantissait que pour la première fois, une femme noire monterait sur la plus haute marche du podium olympique. Finalement, c'est Mensah Stock qui a remporté la victoire 4-1, un titre olympique et un moment historique pour le sport.

CWGPour la première fois dans l'histoire de la lutte, les Jeux du Commonwealth 2022 ont été arbitrés par une majorité de femmes. Les 16 femmes arbitres qui ont participé à Birmingham se sont affichées pour une photo après la compétition. (Photo: Helena Curtis)

2022 -- Les Jeux du Commonwealth deviennent le premier tournoi majeur à être arbitré par une majorité de femmes

Dans le cadre d'une initiative visant à atteindre la parité hommes-femmes, UWW a lancé un programme pour aider à éduquer, former et élever plus de femmes arbitres dans le sport. Dans le cadre de son plan stratégique, UWW, en collaboration avec la Fédération des Jeux du Commonwealth, a convenu d'inclure une majorité de femmes parmi les officiels lors des Jeux du Commonwealth de 2022 à Birmingham en Angleterre.  

Sur les 21 arbitres affectés à l'événement, 15 étaient des femmes, soit une représentation féminine de 70 %. En outre, l'un des postes de délégué des arbitres et d'autres postes officiels étaient occupés par des femmes.