Japon

À 56 ans d'intervalle, l'écrivain japonais Masayuki Miyazawa couvrira ses seconds Jeux Olympiques

By Ikuo Higuchi

(L'article qui suit est la version abrégée et traduite d'une histoire récemment parue sur le site de la Fédération japonaise de lutte)

Si couvrir les Jeux Olympiques peut être considéré comme un honneur dans la carrière d'un journaliste, les occasions ne sont pas si rares. Mais couvrir deux éditions des Jeux dans la même ville à 56 ans d'intervalle est une autre chose.

Écrivain de lutte, l'auteur Masayuki Miyazawa remplira ce tour de force dans moins d'une année à l'occasion des Jeux de Tokyo 2020, après avoir couvert l'édition de 1964 pour le quotidien sportif Nikkan Sports.

Depuis, Miyazawa est devenu un pilier de la scène de lutte japonaise, non seulement comme un reporter sans égal mais aussi en tant qu'éditeur, représentant officiel de la Fédération japonaise, entraîneur impromptu et non-conformiste.

"Je ne veux pas être simple spectateur, je veux faire mes reportages en scène," dit Miyazawa, depuis longtemps retraité du Nikkan Sports et qui souhaite, si sa santé le permet, être associé en tant qu'écrivain aux prochains Jeux de Tokyo. Il aura alors 90 ans.

Miyazawa est toujours conseiller pour la Fédération japonaise de lutte, sans oublier ses racines : bien qu'une place lui ait été réservée parmi les officiels de la Fédération pour la Coupe de l'Empereur, il rejoint toujours la section réservée à la presse pour s'asseoir parmi ses pairs. "Je suis un journalise, à vie," commente-t-il.

Miyazawa n'avait pas conscience que ce doublé tokyoïte lui donnait une place particulière dans l'histoire du journalisme jusqu'à ce qu'un collègue lui dise qu'il entrerait ainsi dans le Guiness Book.

Miyazawa est loué pour ses longues années de contribution envers la lutte par le Président de la Fédération japonaise de lutte (FJL) M. Tomiaki Fukuda lors de la célébration, en 2012, de la première médaille d'or olympique remportée par un lutteur (Tatsuhiro Yonemitsu) de l'Université Takushoku, là où Miyazawa fit ses études. (photo : Ikuo Higuchi)

La curiosité maladive de Miyazawa l'a amené à dévoiler quelques-uns des plus grands scoops sportifs de l'histoire du Japon.

Alors au Nikkan Sports, Miyazawa avait publié sur la retraite d'un des champions légendaires du sumo, Yokozuna Wakanohana I (l'épouse de Yokozuna avait appelé Miyazawa). Lors des Jeux d'Asie de 1962 de Jakarta en Indonésie, Miyazawa, qui avait étudié l'indonésien à l'Université Takushoku, avait obtenu un entretien exclusif avec le Président Sukarno, en pleine crise politique à ce moment.

Miyazawa officie en tant qu'arbitre, l'un de ses nombreux rôles, lors des GANEFO (Jeux des nouvelles forces émergentes) de Jakarta en 1963. Il y agit également comme juge et entraîneur de judo et journaliste (photo : avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa). 

Bien qu'il ait fait carrière principalement dans la lutte, il couvrait également d'autres sports, dont le judo, la gymnastique, le karate, le pentathlon et les Jeux Paralympiques, assez pour remplir de nombreux volumes.

Retrouver le médaillé perdu
L'une des plus grandes réussites de Miyazawa fut de retrouver un médaillé olympique japonais qui avait disparu sans laisser de trace. Miyazawa ne retrouva Katsutoshi Naito pas seulement sain et sauf au Brésil mais raconta une histoire fascinante dont peu de Japonais avaient connaissance.

L'histoire de la lutte japonaise remonte en quelque sorte à Naito, un judoka qui, dans les années 20, fit le rare et audacieux choix de traverser l'océan pour rejoindre l'Université de Penn. Il y rejoint l'équipe de lutte et, avant l'établissement de l'Association universitaire nationale d'athlétisme (NCAA), remporta le titre interuniversitaire de la côte est en 1924.

Les sentiments anti-immigrants étaient forts aux États-Unis à cette époque, et les Japonais établis aux USA n'en souffraient pas moins que les autres. Naito faisait donc profil bas, ce qui ne l'empêcha pas de trouver le succès. Un politicien japonais, espérant améliorer les relations entre les deux pays, fit en sorte que Naito puisse concourir aux Jeux Olympiques de Paris en 1924.

Katsutoshi Naito, à gauche, lutteur vedette de l'université d'État de Penn, vainqueur de la première médaille olympique de lutte pour le Japon - le bronze des Jeux de Paris en 1924. (Archives de la FJL)

Naito remporta la médaille de bronze de lutte libre, classe des 61kg, aux Jeux de Paris, la première médaille olympique du Japon en lutte et la troisième toutes disciplines confondues - après les deux médailles d'argent remportées en tennis par le Japon lors des Jeux d'Anvers de 1920.

Naito retourna au Japon après les Jeux et tenta d'introduire la lutte dans le pays. Mais il fut à l'époque impossible de faire face à l'emprise du judo, sport national du Japon. Naito, qui avait étudié l'horticulture aux États-Unis, partit alors pour le Brésil, où une large population japonaise immigrée s'était développée. Tout en établissant une entreprise d'horticulture, Naito introduisit le judo auprès de ses hôtes.

Ce n'est qu'en 1932 que la Fédération japonaise de lutte fut établie. Naito s'était effacé des mémoires et personne ne savait où il se trouvait.

Vers la fin des années 50, Miyazawa mit tous ses efforts dans la recherche de ce héros de la lutte japonaise. Par courrier postal, il obtint l'assurance que Naito vivait au Brésil. Miyazawa joua ensuite un rôle essentiel pour que Naito et son épouse assistent aux combats de lutte des Jeux de Tokyo de 1964, où il les rencontra pour la première fois.

Naito a pu éprouver de la fierté de constater comment la lutte s'était désormais implantée de façon durable au Japon et sa réussite, car le Japon obtint alors 5 médailles d'or.

C'est plus tard que Miyazawa s'attacha à la tâche de raconter l'histoire de Naito. Elle fut publiée en octobre 1987. "Je suis allé trois fois au Brésil et trois fois à l'Université de Penn," se souvient-il. Il fut accueilli aux USA par Hachiro Oishi, entraîneur de longue date de Nittany Lions.

En 1985, Miyazawa accompagne Tomiaki Fukuda, l'actuel président de la FJL, et Kazuko Oshima, la première lutteuse japonaise, pour faire un compte-rendu de la participation d'Oshima au premier tournoi international de lutte féminine de l'histoire, organisé à Clermond-Ferrand. Miyazawa a prolongé son séjour pour visiter les sites des JO de 1924 et se rapprocher de la route suivie par Naito à l'époque. Miyazawa est devenu incollable sur la vie de Naito : "Le 14 juillet, c'est là que Naito a remporté sa médaille de bronze."

Miyazawa, au milieu, pose au Brésil en 1990 avec Katsuhiro Naito, à gauche, le fils aîné de Katsutoshi Naito, et Tatsuo Oishi, le grand frère de l'entraîneur Hachiro Oishi, habitant São Paulo. Sur le mur, le diplôme reçu par Katsutoshi Naito pour sa médaille de bronze des JO de Paris en 1924. (photo avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa)

Pour la postérité
Pendant plus d'un quart de siècle, des JO de Tokyo en 1964 à mars 1990, Miyazawa fut l'éditeur du mensuel de la Fédération japonaise de lutte, tout d'abord appelé Lutte amateur du Japon, puis Mensuel de lutte et maintenant Lutte olympique. En 1964, la lutte n'était qu'un sport amateur strictement dépendant de l'aide financière du gouvernement et les moyens étaient limités. Miyazawa travaillait donc pro bono, en addition à son travail à temps plein.

Un président de la FJL insistait pour que la presse couvre tout, même les mauvaises nouvelles. La plupart des membres de la fédération considéraient cependant les relations avec les médias comme frivoles. "Dépenser de l'énergie en relations publiques n'amène pas de médaille d'or" constituait le refrain quotidien.

"Je ne me souviens pas avoir reçu quelque compensation que ce soit pour écrire, éditer, me déplacer ou tout autre dépense," dit Miyazawa, qui trouva également le temps d'être le directeur de l'équipe de lutte de son université pendant 10 ans, après que celle-ci fut reléguée en troisième division régionale. En 2012 Tatsuhiro Yonemitsu (lutte libre 66kg) devint le premier lutteur de l'université Takushoku médaillé d'or olympique.

Lors des débuts du magazine, il n'y avait ni fax ni email, et Miyazawa devait rencontrer l'imprimeur à la gare Shinjuku de Tokyo entre deux articles pour le Nikkan Sports. L'imprimeur lui rendait ensuite la première épreuve pour corrections. Les résultats des tournois étaient donc publiés avec trois ou quatre mois de retard.

Pourquoi insister ? Selon Miyazawa, il s'agissait de remplir la mission du journaliste : préserver l'histoire exacte d'une discipline qu'il vénérait pour les générations futures.

Un officiel de la fédération dit un jour à Miyazawa, "Si quelqu'un cherche des résultats, il n'a qu'à venir au bureau. Ne devrais-tu pas inclure plus d'histoires ?" La réponse était non pour Miyazawa. Il demeurait plus important de conserver les résultats pour la postérité. Ses soutiens, dont un officiel de la fédération, remarquait que s'il serait facile pour quelqu'un habitant Tokyo de passer au bureau, ce serait impossible pour les autres. "Beaucoup sont intéressés par les résultats. Voir les noms imprimés, parfois le sien, reste très motivant."

D'autres le loueront plus tard, en disant que les détails et résultats compilés par Miyazawa sont infiniment utiles pour établir des récompenses et avoir une vue d'ensemble.

Miyazawa a aussi révolutionné la terminologie de la lutte au Japon. Une "période" était un "tour" et des références telles que "poids mouche" remplaçaient le classement en kilogrammes. Il semble que cette terminologie de boxe était due aux journalistes couvrant les sports de contact. Miyazawa se détermina à aligner le Japon sur le reste du monde après avoir assisté à un tournoi international. "Lorsque j'ai mentionné les poids mouches, un lutteur européen n'avait aucune idée de quoi je parlais."

Comme la lutte fut importée des États-Unis, Miyazawa se demanda si là-bas des termes de boxe étaient aussi utilisés. L'entraîneur de l'Université Kokushikan et contributeur du site de la FJL William May, lutteur universitaire dans le Minnesota, lui répondit que non. Miyazawa, sans consulter personne, utilisa immédiatement la nouvelle terminologie. Personne n'eut à s'en plaindre.

Miyazawa pose avec la première lutteuse japonaise Kazuko Oshima, troisième à partir de la droite, après un combat de démonstration de lutte féminine à l'occasion de la Coupe des supers champions à Tokyo en 1985. (photo avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa)​

Toujours en course
Miyazawa a également soumis sa candidature pour être un porteur de la flamme olympique l'année prochaine. Il sait que s'il est sélectionné, il sera lui-même - cette fois - sujet d'attention médiatique.

Sa santé actuelle est cependant un plus grand sujet d'inquiétude. Opéré pour des calculs biliaires, on lui a découvert un cancer de la prostate, heureusement bénin. Selon son docteur, des injections d'hormones lui garantissent encore de 5 à 10 ans de vie, suffisamment pour assister aux JO de Tokyo.

Sa condition s'est récemment stabilisée. La vie d'un reporter était tout sauf saine. Horaires irréguliers, travail nocturne et célébrations entre collègues jusqu'au petit matin constituaient la norme, comme fumer en tapant à la machine. Même si Miyazawa n'a jamais été fumeur, il n'avait pas de temps à consacrer à l'exercice physique et ne donnait pas un sou de son régime.

À 62 ans, cinq années après la retraite et travaillant contractuellement pour Nikkan Sports, il a payé de sa poche pour assister aux JO de Barcelone en 1992. Voyant une photo de lui-même, il fut choqué de voir combien il avait grossi. On lui diagnostiqua à son retour au Japon le diabète.

Grâce aux médicaments, un régime sain et des exercices physiques, sa condition s'améliora rapidement. Une marche en piscine quotidienne le fit redescendre de 74 à 57kg, son poids de lutteur universitaire.

Miyazawa a couru deux tours de 400 mètres l'année passée lors d'un événement organisé par l'équipe nationale de lutte féminine, et terminé bon dernier ; mais les 200 mètres demandés pour la flamme olympique restent largement dans ses cordes.

Un autre obstacle pourrait être son accréditation. Obtenir une carte de presse en 64 était simple et il put alors écrire sur ce qu'il souhaitait. Le CIO a aujourd'hui rendu le processus bien plus sélectif.

Un ami de Miyazawa lui a proposé autre chose : "Après la double couverture des JO de Tokyo, pourquoi ne pas aller à Paris en 2024 et marquer les 100 ans de la victoire de la médaille de Naito ?"

"Mon docteur m'a donné 10 ans," a répliqué Miyazawa. "Je compte y être."

#WrestleBelgrade

Live Blog: Championnats du Monde, Jour 2

By Ken Marantz & Vinay Siwach

BELGRADE, Serbie (11 Septembre) -- Après que les finales des quatre catégories de poids en gréco-romaine ont été établies samedi, les Championnats du monde entament la deuxième journée à Belgrade avec quatre autres poids en gréco-romaine.

WATCH EN DIRECT | ORDRE DES MATCHS | JOUR 1 WRAP

Voici les demi-finales de la session du soir

63kg
Sebastian NAD (SRB) vs. Taleh MAMMADOV (AZE)
Leri ABULADZE (GEO) vs. Ali Reza Ayat Ollah NEJATI (IRI) 

67kg
Hasrat JAFAROV (AZE) vs. Mate NEMES (SRB) 
Mohammadreza GERAEI (IRI) vs. Joni KHETSURIANI (GEO) 

82kg
Jalgasbay BERDIMURATOV (UZB) vs. Tamas LEVAI (HUN)
|Yaroslav FILCHAKOV (UKR) vs. Burhan AKBUDAK (TUR) 

97kg
Kiril MILOV (BUL) vs. Arif NIFTULLAYEV (AZE)
Mohammadhadi SARAVI (IRI) vs. Artur ALEKSANYAN (ARM) 

15:15: Pejman POSHTAM (IRI) ne passera pas en demi-finale car Yaroslav FILCHAKOV (UKR) l'emporte 5-3. Un autre coup dur pour les espoirs de titre par équipe de l'Iran.

15:11: Rafig HUSEYNOV (AZE) a été renversé du trône des 82 kg de façon spectaculaire. Le médaillé de bronze des championnats du monde 2019, Jalgasbay BERDIMURATOV (UZ), fait tomber le médaillé de bronze olympique avec un bear hug pour 4 points, et 2 autres points sont ajoutés lorsque Huseynov est pénalisé pour fuite. Ramené au tapis en par terre, Berdimuratov obtient un jeté de 4 points pour une victoire de 11-0.

15:10: Tamas LEVAI (HUN) est proche de rejoindre son frère en tant que finaliste. Il bat Roland SCHWARZ (GER) par tombé en 82kg.

15:05: Kiril MILOV (BUL) a obtenu les rares deux positions par terre dans son quart de finale contre (ITA). Bien qu'il n'ait pas réussi à obtenir de rolls, il s'est imposé 2-0 pour accéder aux demi-finales des 97kg.

15:03: Mohammadhadi SARAVI (IRI) s'avère trop fort pour le vieillissant Rustam ASSAKALOV (UZB), se qualifiant pour les demi-finales des 97kg avec une victoire unilatérale 7-0.

14:56: Arif NIFTULLAYEV (AZE) n'a besoin que de 1:12 pour faire un tombé technique 10-2 sur Alex SZOKE (HUN) et accéder aux demi-finales des 97kg.

14:58: Hasrat JAFAROV (AZE) se hisse en demi-finale pour la première fois de sa carrière en battant HUSIYUETU (CHN) 7-0. 

14:51: Le champion olympique Mohammadreza GERAEI (IRI) fait tomber l'ancien champion du monde Hansu RYU (KOR) sur son cou pendant leur quart de finale des 67 kg. Le geste est jugé comme "brutal" et les points sont retirés. Mais Ryu n'est pas en mesure de continuer en raison de l'impact sur ses côtes, et Geraei avance avec une victoire 5-1 par abandon sur blessure.

14:49: Sur le tapis C, le médaillé d'argent olympique Parviz NASIBOV (UKR) n'a pas de réponse à Joni KHETSURIANI (GEO) et tombe en quart de finale 7-0.

14:47: Mate NEMES (SR) marque un gut wrench en par terre et réserve sa place en demi-finale des 67kg avec une victoire 2-1 sur Mateusz BERNATEK (POL), à la grande joie de la foule partisane.

14:36: Le champion olympique Luis ORTA SANCHEZ (CUB) ne remportera pas l'or mondial après avoir perdu une décision très serrée de 2-1 contre Taleh MAMMADOV (AZE) chez les 63kg. Mammadov a réussi à prendre l'avantage 2-1 et dans les dernières secondes, il a réussi à ne pas toucher le sol alors que le Cubain s'efforçait d'obtenir un takedown par derrière.

14:31: Leri ABULADZE (GEO) prend une avance de 5-2 sur une mêlée précoce, puis tient bon pour une victoire 7-2 sur Tynar SHARSHENBEKOV (KGZ) dans leur quart de finale des 63kg.

14:20: Ali Reza NEJATI (IRI) sort le champion du monde Victor CIOBANU (MDA). Les deux lutteurs ont eu une chance en par terre mais c'est Nejati qui a obtenu deux rolls pour s'imposer 5-3 en quart de finale.

14:15: La Serbie a un autre demi-finaliste aux Championnats du monde. Sebastian NAD (SRB) n'a laissé aucune ouverture à Hrachya POGHOSYAN (ARM) et a remporté une victoire de 4-0.

14:09: Après une longue attente, le champion en titre des 82 kg Rafig HUSEYNOV (AZE) monte enfin sur le tapis. Le médaillé de bronze olympique réalise un cross-body roll depuis le par terre contre Yuya OKAJIMA (JPN) et se qualifie facilement pour les quarts de finale avec une victoire 7-1.

14:00: Le champion d'Europe Kiril MILOV (BUL), médaillé d'argent mondial en 2018, arrache quatre gut wrenches depuis le par terre pour écarter Deepanshu AHLAWAT (IND) 9-1 et gagner une place en quart de finale des 97kg.

13:37: Le champion en titre des 97 kg et médaillé de bronze olympique Mohammadhadi SARAVI (IRI) obtient une paire de gut wrenches depuis le par terre contre Felix BALDAUF (NOR). Un takedown et un stepout dans la deuxième période pour terminer le tombé technique 8-0.

13:30: Mihai MIHUT (ROU) a réussi un exploit. Il menait 1-1 sur critères et défendait la position du par terre contre Hansu RYU (KOR) quand le coréen a obtenu la deuxième passivité. Mihut est averti pour fuite et avec 4 secondes restantes, il est pénalisé de deux points. Challenge de Mihut mais la lutte négative est confirmée. Ryu gagne 4-1.

13:19: Le champion olympique et du monde en titre Mohammadreza GERAEI (IRI) obtient une remontée de 4 points du par terre, puis termine par un tombé technique 9-0 sur Amantur ISMAILOV (KGZ) avec un takedown juste avant la fin de la première période pour se qualifier pour les quarts de finale des 67kg.

13:19: Dans un combat classique entre anciens champions du monde, Artur ALEKSANYAN (ARM), médaillé d'argent aux Jeux olympiques de Tokyo, en quête de sa sixième médaille mondiale, s'impose 3-1 chez les 97 kg face à Metehan BASAR (TUR).

13:13: Sebastian NAD (SRB) continue de se nourrir de l'énergie de la foule locale, marquant une paire de gut wrenches depuis le par terre et se qualifiant pour les quarts de finale des 63 kg avec une victoire 5-1 sur Razvan ARNAUT (ROU).

13:06: Le champion asiatique Tynar SHARSHENBEKOV (KGZ) avec un départ gagnant. Il bat Nikolay VICHEV (BUL) 6-1 en 63kg.

13:03: Le médaillé d'argent des championnats du monde 2021 Leri ABULADZE (GEO) obtient une paire de stepouts dans les 30 dernières secondes pour s'assurer une victoire 4-1 sur le champion asiatique 2019 Erbatu TUO (CHN) et gagner une place en quart de finale des 63kg.

12:41: Le lutteur réfugié, Aker AL OBAIDI (UWW), semblait sans peur face au champion du monde de 2021, Victor CIOBANU (MDA). Mais mis en bas du par terre, le courage ne peut pas vous mener bien loin, car Ciobanu soulève et roule son chemin vers un tombé technique 9-0 pour se qualifier pour les quarts de finale des 63kg.

12:39: Le champion olympique Luis ORTA (CUB) contre Neeraj CHHIKARA (IND) en 63kg. Il obtient le par terre et sort le chest wrap. Une forte prise d'Orta et il gagne 9-0 avec quatre expositions.

12:31: Roland SCHWARZ (GER), médaillé de bronze mondial en 2021 en 77kg, est passé en 82kg. Il a obtenu un takedown et une combinaison de rolls juste avant la fin de la première période et a profité de cela pour remporter une victoire 5-1 sur David ZHYTOMYRSKY (ISR).

12:20: Ali Reza NEJATI (IRI) affronte Abdolmohammad PAPI (GER) dans la catégorie des 63 kg. Il a été inclus dans l'équipe après que le champion du monde Meysam DALKHANI (IRI) ne s'est pas remis d'une blessure. Il ouvre le compte avec une exposition pour deux points.

12:02: A 38 ans, le double médaillé mondial Rustam ASSAKALOV (UZB) montre plus de gris dans sa pilosité faciale, mais il sait toujours comment gagner. Un headlock de 4 et une combinaison de takedowns et gut wrench lui donne un tombé technique de 8-0 à 97kg sur Islam UMAYEV (KAZ). 

11:56: Plus de succès pour l'équipe locale, avec le double médaillé de bronze Mihail KAJAIA (SRB) qui déjoue une tentative de bear-hug de Mathias BAK (DEN) en fin de match, et passe par-dessus pour 2 pour terminer une victoire 5-1 à 97kg. 

11:52: L'indomptable Hansu RYU (KOR), toujours aussi fort à 34 ans, a progressé en 67 kg lorsque son adversaire Nestor ALMANZA (CHI) a abandonné sur blessure en deuxième période. Ryu, champion du monde en 2013 et 2017, venait de prendre une avance de 7-1.

11:45: Le médaillé de bronze des championnats du monde U20  Braxton AMOS (USA) avec deux arm throws dans sa victoire 12-6 sur Vladen KOZLIUK (UKR) en 97kg. 

11:22: Dans un combat acharné sur le tapis B des 67 kg, Parviz NASIBOV (UKR), médaillé d'argent des JO de Tokyo en 63 kg, a pris une avance de 5 points, avant de se faire distancer par Slavik GALSTYAN (ARM). Mais il a obtenu les points dont il avait besoin pour arracher une victoire 7-7. Galstyan était médaillé de bronze des championnats du monde 2019 en 63 kg.

11:20: Un combat qui devrait être passionnant. Le médaillé de bronze olympique Mohamed ELSAYED (EGY) affronte l'étoile montante Abror ATABAEV (UZB). Elsayed avec un stepout et un avertissement pour fuite pour mener 2-0. Atabaev est lentement revenu dans ce combat avec deux stepouts. Mais El Sayed a toujours 2-2 d'avance grâce à l'avertissement pour fuite. El Sayed est averti pour avoir fui la prise. Avec 8 secondes restantes, El Sayed est pénalisé pour la deuxième fuite. Atabaev prend l'avantage 3-2. Un défi perdu par El Sayed, Atabaev gagne 4-2.  

11:10: Le champion d'Europe 2021, Mate NEMES (SRB), dont le frère jumeau Viktor luttera ce soir pour une médaille de bronze chez les 77 kg, s'est qualifié pour le tour suivant chez les 67 kg grâce à une chute technique 9-0 contre ASHU (IND).

11:08: Victor CIOBANU (MDA), 60kg, concourt en 63kg cette année et a bien commencé. Il a obtenu deux rolls depuis le par terre contre un de Jinseub SONG (KOR) pour gagner 5-3.

11:05: Luis ORTA SANCHEZ (CUB), champion olympique de Tokyo en 60kg, a bien commencé son passage en 63kg en battant 10-0 le médaillé de bronze européen Oleksandr HRUSHYN (UKR).

10:56: Sebastian NAD (SRB) fait vibrer le public local, marquant tous ses points dans la première période et remportant une victoire 7-1 chez les 63kg contre Abdeldjebar DJEBBARI (ALG).

10:51: Représentant l'équipe de l'UWW, le lutteur réfugié Aker AL OBAIDI (UWW) débute sa campagne chez les 63kg avec une victoire 8-0 sur Emerson FELIPE (GUA).

10:45: Après que l'Iran n'a pas réussi à se qualifier pour l'une des quatre finales hier, Ali Reza NEJATI (IRI), médaillé de bronze aux championnats du monde 2019, a commencé sa campagne chez les Greco 63kg avec une solide victoire 5-0 sur le médaillé de bronze européen Ahmet Uyar (TUR). 

10:27: Rebonjour depuis Belgrade ! Si le Jour 2 ressemble à la première journée d'hier, nous nous attendons à beaucoup d'action rapide et de drame de haut niveau. La session du matin d'aujourd'hui verra les lutteurs de gréco 63kg, 67kg, 82kg et 97kg essayer de se frayer un chemin vers les demi-finales. Accrochez-vous !