#WrestleWarsaw

L'équipe turque de lutte libre se retire de l'Open de Pologne au dernier moment

By Eric Olanowski

VARSOVIE, Pologne (le 7 juin) --- L'équipe turque de lutte libre se retire de l'Open de Pologne, prévu du 8 au 11 juin, au dernier moment après que la plupart de ses 22 membres ont concouru ce weekend au championnat national turc de lutte libre. Selon la Fédération nationale turque, "il a été décidé d'organiser le championnat national de lutte libre à Istanbul du 4 au 7 juin. Pour cette raison, notre équipe de lutte libre ne pourra pas prendre part à l'événement de série de classement prévu à Varsovie."

L'Open de Pologne débute demain à 11 heures heure locale et est diffusé en direct sur www.uww.org.

L'équipe turque retirée des inscriptions :
57kg - Saban KIZILTAS
57kg - Engin CETIN
57kg - Hafiz Can HASDEMIR
61kg - Recep TOPAL
61kg - Emrah ORMANOGLU
61kg - Cabbar Taner DUYUM
65kg - Selim KOZAN
65kg - Cavit ACAR
70kg - Mustafa KAYA
70kg - Selahattin KILICSALLAYAN
70kg - Cuneyt BUDAK
74kg - Soner DEMIRTAS
74kg - Yakup GOR
74kg - Fazli ERYILMAZ
79kg - Ramazan SARI
86kg - Fatih ERDIN
92kg - Erhan YAYLACI
92kg - Selim YASAR
92kg - Mustafa Kemal KIYI
97kg - Ibrahim CIFTCI
97kg - Feyzullah AKTURK
125kg - Anil Berkan KILICSALLAYAN

#WrestleOslo

Aisululu Tynybekova, première femme kirghize médaillée olympique, revient sur son parcours inspiré

By Eric Olanowski

OSLO, Norvège (le 18 novembre) --- Aisululu Tynybekova (KGZ) a parlé avec United World Wrestling de la défense couronnée de succès de son titre mondial des 62kg au championnat du monde 2021 d'Oslo, un mois après être devenue la première femme kirghize médaillée aux Jeux Olympiques.

Quelques instants après avoir vaincu Kayla MIRACLE (USA), médaillée mondiale d'argent 2019 des U23, en finale des 62kg par 7-0, la désormais double championne du monde a discuté avec United World Wrestling, revenant sur l'incroyable parcours qui l'a amenée à devenir l'une des figures les plus marquantes de la discipline.

Elle n'a pas eu, à Oslo, à combattre son ennemie jurée Yukako KAWAI (JPN), qui l'avait vaincue en finale des Jeux Olympiques de Tokyo et qui, comme l'ensemble des médaillés Japonais, ne s'est pas rendue à Tokyo.

Mais cela ne signifie pas que les choses furent faciles pour Tynybekova. Au premier tour, elle fut tout d'abord menée 4-0 par la double championne du monde des cadets Nonoka OZAKI (JPN), avant de remonter pour vaincre 6-4, et son quart de finale fut également laborieux.

"La finale d'aujourd'hui fut le combat le plus facile de tous ceux de cette compétition," a déclaré Tynybekova. "Le premier jour, les trois combats ont été tous très durs, et je peux dire que c'est de justesse que je les ai gagnés dans les dernières secondes. "J'avais lutté contre l'Américaine lors du tournoi international en Italie et je sais comment elle se bat. Avec mon coach nous avions compris sa technique et j'ai juste fait tout ce qu'il m'avait dit."

Finalement, gagner est tout ce qui compte pour cette femme devenue la première championne du monde de l'histoire de son pays, hommes et femmes confondus. A Tokyo, elle est également devenue l'une des deux premières femmes kirghizes médaillées aux Jeux Olympiques tous sports confondus.

"Dès que je suis sortie du tapis, mon coach m'a félicitée. Qu'il soit heureux est la chose la plus importante pour moi. Je crois que tous les kirghizes sont heureux aussi. Quant à être deux fois championne du monde, je peux dire que je me suis prouvée à moi-même que c'était possible. Bien sûr, ça me réjouit. Surtout après ma défaite aux Jeux Olympiques, j'ai pu bien me préparer et gagner. Cela veut dire beaucoup pour moi."