Japon

Attendance réduite et sécurité pour la reprise des camps d'entraînement de l'équipe nationale japonaise

By Ken Marantz

TOKYO―Il y avait quelque chose d'inhabituel lors du lancement du camp d'entraînement de l'équipe du Japon - entre autres choses, seuls huit athlètes étaient présents.

Mais nous sommes dans une époque troublée. Le fait que le Japon ait finalement pu, au milieu d'une pandémie mondiale, remonter sur les tapis pour la première fois en 3 mois et demi constitue une avancée majeure pour le pays hôte des prochains Jeux Olympiques repoussés d'un an, qui peut ainsi commencer sa préparation à long terme.

Yukako et Risako KAWAI se désinfectent les mains à l'entrée de la salle de lutte du Centre national d'entraînement (CNE) de Tokyo. (photo : Sachiko Hotaka/JWF)

"Je suis vraiment heureuse de revoir les membres de l'équipe nationale après si longtemps," a déclaré Yukako KAWAI, l'une des quatre lutteuses de l'équipe olympique participant au camp féminin qui a commencé le jeudi 2 juillet. "Nous avions habituellement un camp par mois et même si nous ne sommes pas retournés à la normale, je suis contente de pouvoir à nouveau lutter ici."

Respectant les volumineuses directives soigneusement établies par le comité des sciences sportives de la Fédération japonaise de lutte, les camps du Centre national d'entraînement de Tokyo suivront de strictes protocoles afin de prévenir la diffusion du coronavirus, dont les effets sur le monde du sport sont dévastateurs.

En addition aux directives habituelles de port de masque, de lavage des mains et d'utilisation de désinfectant, ces directives appellent également à limiter le nombre de personnes présentes dans la salle de lutte à un moment donné. Ceci est obtenu par l'organisation différenciée des camps par style de lutte avec un minimum de période de chevauchement, en invitant principalement ceux et celles déjà en possession d'une place olympique ou qui seront parties prenantes des qualificatifs olympiques.

"Les camps d'entraînement - de lutte féminine, gréco-romaine et libre - n'ont pas pour but d'améliorer le niveau," a déclaré le directeur national du développement technique Shigeki NISHIGUCHI. "Ces camps visent spécifiquement les JO de Tokyo. Nous en avons donc limité le nombre, particulièrement pour juillet. Selon les circonstances, nous espérons être capables d'augmenter la fréquence en août et septembre. Mais le principal est de faire barrière au coronavirus."

Les athlètes conservent depuis le 16 juin le relevé quotidien de leur température corporelle, de leur santé générale et de tout contact externe qu'ils ont pu avoir. Tous ont fait un test d'anticorps avant le camp et, à l'exception d'une course rapide à un commerce de proximité, ils n'ont en principe pas le droit de quitter le centre.

Le camp de lutte féminine est le premier, du 2 au 8 juillet, suivi par la lutte gréco-romaine du 6 au 11 et par la lutte libre du 23 au 28. Un camp par mois sera organisé pour chaque style en août et septembre prochains, également presque séparément.

Yui SUSAKI par en ramassement lors d'un exercice d'amené au sol. (photo : Sachiko Hotaka/JWF)

Quatre des cinq membres de l'équipe olympique de lutte féminine - les championnes en titre Risako KAWAI (57kg), Sara DOSHO (68kg), la petite soeur de Risako Yukako (62kg) et Hiroe MINAGAWA (76kg) - ont rejoint les six tapis de la salle de lutte du CNE jeudi dernier, ainsi que la double championne du monde Yui SUSAKI (50kg) qui espère obtenir un billet olympique lors du qualificatif Asie prévu en mars prochain. Trois autres personnes étaient également présentes.

Absente du quintet olympique, la médaillée mondiale d'argent Mayu MUKAIDA (53kg), récemment diplômée de la fameuse université de Shigakkan. Elle a rejoint la firme de haute technologie JTEKT en tant qu'athlète sponsorisée et a des engagements envers cette entreprise. 

Hors les coaches, le personnel et les officiels de la Fédération, les seuls personnes permises dans la salle de lutte sont l'équipe du website de la Fédération japonaise et un correspondant UWW. Les médias japonais ont pu observer l'entraînement en streaming, et tenir une "conférence de presse" avec chaque lutteuse après la session.

Chaque personne pénétrant dans la salle devait se désinfecter les mains et avait sa température prise. Les lutteuses ont également désinfecté les semelles de leurs chaussures de lutte. Tous, coaches compris sauf les lutteuses en exercice, portaient constamment des masques.

À ce stade, la politique de la Fédération est de commencer doucement et d'augmenter la cadence en vue des Jeux Olympiques, faisant ce qui est possible pour éviter des blessures. La session ne comportait ainsi pas de lutte en direct. La première heure était faite d'étirements et de montée en pression des muscles principaux, suivis d'exercices tels que des ramassements de jambe par l'extérieur, des amenés au sol et des ceintures en pont. L'ambiance était relaxée mais concentrée sur les exercices à réaliser.

"Il y a encore un an et un mois avant les JO, alors nous voulons solidement consolider les fondamentaux et éviter les blessures," dit Nishiguchi. "Nous commençons par les choses fondamentales. Les lutteuses ont peut-être l'impression que ce n'est pas assez. Mais il n'y a aucune raison d'aller plus vite que la musique."

Sara DOSHO travaille un exercice de renforcement. (photo : Sachiko Hotaka/JWF)

Les éclopées
Ironiquement, alors qu'éviter les blessures est la priorité, trois des lutteuses olympiques souffrent actuellement de divers handicaps. En fait, Minagawa a profité du repos forcé pour subir une opération du genou tandis que  Dosho, qui délare s'être complètement remise de son opération à l'épaule de début 2019, continue à soigner un genou mal en point ; et Risako Kawai s'est faite un tour de reins.

"C'est une situation chronique depuis à peu près un an," dit Minagawa, médaillée mondiale d'argent en 2019, au sujet de son genou droit dont elle a subi l'ablation du ménisque. "C'était particulièrement dur en mars. Avec les JO [originellement] en août, il était impossible d'avoir une opération. Je pensais continuer et juste ignorer le problème, puis le report a été décidé."

Nishiguchi remarque que pour quelques personnes comme Minagawa, il y a un côté positif au report des JO pour cause de pandémie, puisque cela leur donne une année pour récupérer de leurs blessures.

Lors du pic de la pandémie au Japon, de début avril à début mai, le gouvernement avait déclaré l'état d'urgence, ce qui ne lui avait cependant pas permis d'imposer la fermeture des magasins, l'utilisation des masques ou la distanciation sociale. Mais les gouverneurs des préfectures du pays ont pu demander que de telles mesures soient respectées volontairement, un auto-confinement largement suivi par le public.

Comme les autres, Minagawa était alors obligée de se contenter de s'entraîner à la maison et de courir à l'extérieur car aucune salle de lutte ou de gym n'était restée ouverte.

"Pendant cette période d'auto-confinement, je devais rester à la maison et mentalement, ce fut difficile," dit-elle. "Récemment, l'état d'urgence a été levé, j'ai donc pu sortir plus et les camps nationaux ont rouvert, ce qui m'a aidé à remonter la pente. Je suis plus à même de regarder devant positivement."

Dosho dit qu'elle ressent encore quelques douleurs dans son genou, et que le soutien qu'elle reçoit allège le désagrément. Après avoir échoué à obtenir une médaille au championnat du monde, elle reste déterminée à faire amende honorable en devenant championne olympique encore une fois.

"Mon objectif de remporter une médaille d'or n'a pas changé d'un iota," dit-elle. "Je crois que tout ira bien si je reste patiente et y vais doucement à l'entraînement."

Risako KAWAI soulève la jambe de sa partenaire lors d'un exercice d'amené au sol. (photo : Sachiko Hotaka/JWF)

Et maintenant elle cuisine
Pour Risako Kawai, qui a remporté son quatrième titre mondial en septembre dernier à Noursoultan, rester à la maison lui a donné la possibilité d'apprendre quelque chose du monde réel, extérieur à celui du sport - comme comment cuisiner.

"Depuis le lycée, j'ai toujours pris mes repas au dortoir, et même après avoir terminé l'université, je pouvais manger là-bas," dit-elle. "Mais pendant la période d'auto-confinement, nous ne pouvions pas bouger. C'est la première fois que je devais préparer mes propres repas pour une si longue durée, même à mon âge."

Déclarant qu'elle a aussi fait du Pilate pour la première fois, Kawai a trouvé des recettes sur internet.

"Je n'avais jamais préparé de repas frits, mais j'ai pu faire un essai," dit-elle. "Plutôt que me concentrer sur une spécialité, j'ai tenté différentes choses."

Sa petite soeur Yukako, comme Risako un produit de Shigakkan, a eu du mal a s'éloigner de la vie couvée de l'université. "J'ai vraiment apprécié ma mère, qui nous préparait nos repas," dit-elle. 

Shigakkan a récemment réouvert ses installations et les Kawai ont pu remonter sur les tapis avant les camps nationaux, mais sans lutte active. 

"Naturellement, ma force a diminué par rapport à d'habitude," dit Risako. "Mais je ne ressens aucun changement dans mon rapport à la lutte."

Quant à remonter sur les tapis, ajoute-t-elle, "C'est la première fois depuis longtemps que les coaches m'observent travailler avec une partenaire. C'est un sentiment rafraîchissant." 

Elle dit qu'elle a récupéré à 80% son problème de dos et prend soin de ne pas rechuter. Lors des exercices de son premier entraînement, elle n'a pas fait de lutte au sol.

Yukako KAWAI takes down her practice partner. (photo by Sachiko Hotaka/JWF)

Les cheveux aujourd'hui et demain, loin
Parmi les principaux sujets de conversation du camp ne concernant pas la lutte, le nouveau look de Yukako Kawai était en première ligne : elle a surpris tout le monde pour avoir fait une coupe au bol de sa longue chevelure.

"C'est la première fois depuis l'école primaire que j'ai cette longueur," dit-elle. "C'est nouveau pour moi."

Kawai déclare qu'elle a coupé ses boucles juste avant le début de la période d'auto-confinement en mars, avant que les salons de coiffure ne ferment.

"J'ai toujours voulu les couper mais je n'en ai jamais eu le courage," ajoutant qu'elle avait pris cette résolution suite à un incident à New Delhi en février. "Au championnat d'Asie, on m'a tiré les cheveux. C'est là que j'ai décidé que j'en avais assez."

"A l'époque, les JO n'avaient pas encore été reportés. J'ai pensé que ce serait radical pour me mettre dans l'esprit du sprint vers les Jeux."

Ses courtes tresses ne sont pas le seul nouvel aspect de la vie de Kawa. Comme Mukaida, elle a obtenue son diplôme de Shigakkan pour rejoindre une compagnie avec un contrat qui lui permet de continuer à se dédier complètement à la lutte. Elle rejoint Risako comme employée de Japan Beverage, qui emploie également la lutteuse maintenant retraitée plusieurs fois championne du monde et médaillée olympique Kyoko HAMAGUCHI. 

"Jusqu'à maintenant, j'étais dans l'équipe de lutte en tant qu'étudiante," commente Kawai.. "Aujourd'hui la lutte est mon métier. C'est mon métier d'obtenir des résultats et de rembourser l'entreprise. Je ressens plus de responsabilité qu'avant. Je dois faire preuve de plus de discernement sur mes performances. Je suis reconnaissante qu'ils m'offrent le même environnement de lutte qu'auparavant, et je veux réussir et que mon entreprise sois contente."

Tandis que le programme international de lutte reste dans les limbes, Kawai déclare qu'elle ne se sent pas concernée par l'absence de tournoi spécidique pour lequel elle se préparerait au camp national. 

"Je n'y ai pas vraiment pensé," dit-elle. "Je pose un objectif pour chaque jour d'entraînement et je pense à comment l'atteindre. Plutôt que sur les tournois, je travaille à dépasser les problèmes que je peux avoir."

#WrestleKyiv21

Les inscriptions du XXIVème Tournoi Memorial des lutteurs et entraîneurs ukrainiens exceptionnels

By Eric Olanowski

Le XXIVème tournoi Memorial des lutteurs et entraîneurs ukrainiens exceptionnels se déroulera à Kiev du 26 au 28 février prochain et accueillera près de 600 participants venus de 33 pays.

REGARDER : https://www.youtube.com/playlist?list=PLVhm78Vnhay9CDvwKxN6jKq6w5UqNP3TG

Lutte libre

57kg
Abdelhak KHERBACHE (ALG)
Karen ZURABYAN (ARM) 
Afgan KHASHALOV (AZE) 
Islam BAZARGANOV (AZE) 
Aryian TIUTRIN (BLR) 
Dzimchyk RYNCHYNAU (BLR) 
Dzmitry SHAMELA (BLR) 
Mikyay NAIM (BUL) 
Beka BUJIASHVILI (GEO) 
Otari GOGAVA (GEO) 
Niklas STECHELE( GER) 
Ali GHOLI ZADEGAN KOLOUKHI (IRI) 
Almaz SMANBEKOV (KGZ)
Bekbolot MYRZANAZAR (KGZ)
Ulukbek ZHOLDOSHBEKOV (KGZ)
Petru CRACIUN (MDA) 
Andrei DUKOV (ROU) 
Razvan-Marian KOVACS (ROU) 
Nils LEUTERT (SUI) 
Andrii YATSENKO (UKR)
Kamil KERYMOV (UKR)
Roman GUTSULIAK (UKR)
Serhii TERZI (UKR)
Taras MARKOVYCH (UKR)
Nodirjon Safarov (UZB)

61kg
Razmik PAPIKYAN (ARM) 
Akhmednabi GVARZATILOV (AZE) 
Intigam VALIZADE (AZE) 
Lachinau ASADULLA (BLR) 
Uladzislau KOIKA (BLR) 
Arman ELOYAN (FRA) 
Beka LOMTADSZE (GEO) 
Teimuraz VANISHVILI (GEO) 
Viktor LUZEN (GER) 
Richard VILHELM (HUN) 
Ikromzhon KHADZHIMURADOV (KGZ)
Leonid COLESNIC (MDA) 
Ivan GUIDEA (ROU) 
Nino LEUTERT (SUI) 
Ali KARABOGA (TUR) 
Cabbar DUYUM (TUR) 
Saban KIZILTAS (TUR) 
Andrii DZHELEP (UKR)
Oleksandr EVSEENKO (UKR)
Valentyn BLIASETSKII (UKR)
Volodymyr BURUKOV (UKR)
Angelo RINI (USA) 

Iszmail MUSZUKAJEV (HUN), médaillé mondial de bronze 2019, est inscrit en 65kg (Photo : Kadir Calisan)

65kg
Amar LAISSAOUI (ALG)
Gevorg TADEVOSYAN (ARM) 
Ali RAHIMZADE (AZE) 
Dzabrayil GADZHIEV (AZE) 
Turan BAYRAMOV (AZE) 
Andre BEKRENEU (BLR) 
Dzianis SALAVEI (BLR) 
Niurgun SKRIABIN (BLR) 
Vladimir DUBOV (BUL) 
Juan Pablo GONZALEZ (ESP) 
Marwane YEZZA (FRA) 
Quentin STICKER (FRA) 
Davit TLASHADZE (GEO) 
Giorgi TCHOLADZE (GEO) 
Shmagi TODUA (GEO) 
Iszmail MUSZUKAJEV (HUN) 
Aibek TOKTOGUL (KGZ)
Alibek OSMANOV (KGZ)
Ernazar AKMATALIEV (KGZ)
Maxim SAGULTAN (MDA) 
Nikolai OKHLOPKOV (ROU) 
Stefan-Iounut COMAN (ROU) 
Ahmet DUMAN (TUR) 
Andrii SVYRYD (UKR)
Denys BOROGAN (UKR)
Erik ARUSHANIAN (UKR)
Gor OHANNESIAN (UKR)
Ivan BILEICHUK (UKR)
Mykyta GONCHAROV (UKR)
Petro BILEICHUK (UKR)
Vasyl SHUPTAR (UKR)
Vitalii GODYNA (UKR)

70kg
Arman ANDREASYAN (ARM) 
Aliaksandr PAULIUCHENKA (BLR) 
Dillon WILLIAMS (CAN) 
Mirza SKHULUKHIA (GEO) 
Zurabi IAKOBISHVILI (GEO) 
Alehander SEMISOROV (GER) 
Daniel ANTAL (HUN) 
Erfan ELAHI (IRI) 
Hertz HOROWITZ (ISR) 
Islambek OROZBEKOV (KGZ)
Gheorghe ROBU (MDA) 
Mihail SAVA (MDA) 
Tobias PORTMANN (SUI) 
Daniel CHOMANIC (SVK) 
Selahattin KILIÇSALLAYAN (TUR) 
Andrii NUGUMANOV (UKR)
Igor NYKYFORUK (UKR)
Ivan KUSYAK (UKR)
Maksym LAVROV (UKR)
Mykhailo GURSKYI (UKR)
Oleksii BORUTA (UKR)
Yegor MURADYAN (UKR)
Connor KIEVMAN (USA) 

74kg
Ishak BOUKHORS (ALG)
Hrayr ALIKHANYAN (ARM) 
Varuzhan KAJOYAN (ARM) 
Simon MARCHL (AUT) 
Ashraf ASHIROV (AZE) 
Azamat NURIKAU (BLR) 
Ali-Pasha UMARPASHAEV (BUL) 
Miroslav KIROV (BUL) 
Jasmit PHULKA (CAN) 
Jonathan ALVAREZ (ESP) 
Pablo GARCIA(ESP) 
Charles AFA (FRA) 
Giorgi SULAVA (GEO) 
Vladimeri GAMKRELIDZE (GEO) 
Lennard WICKEL (GER) 
Csaba VIDA (HUN) 
Murad KURAMAGOMEDOV (HUN) 
Mohammadsadegh FIROUZPOURBANDPEI (IRI) 
Mitch FINESILVER (ISR) 
Arsalan BUDAZHAPOV (KGZ)
Elaman DOGDURBEK (KGZ)
Evgheni NEDEALCO (MDA) 
Stanislav NOVAC (MDA) 
Vasile DIASON (MDA) 
Andrzej SOKALSKI (POL) 
Kamil RYBYCKI (POL) 
Marcin MAJKA (POL) 
Mateusz KAMPIK (POL) 
Patrick OLENCZYN (POL) 
Maxim VASILIOGLO (ROU) 
Zurab KAPRAEV (ROU) 
Marc DIETSCHE (SUI) 
Soner DEMİRTAS (TUR) 
Ali ZAKARIIEV (UKR)
Denys PAVLOV (UKR)
Kasum KASUMOV (UKR)
Semen RADULOV (UKR)
Vadym KURYLENKO (UKR)
Yevgenii DYBOVYI (UKR)
Zelimkhan TOGUZOV (UKR)
David BERKOVICH (USA)

79kg
Arman AVAGYAN (ARM) 
Rashad YUSIFLI (AZE) 
Toghrul ASGAROV (AZE) 
Andrei KARPACH (BLR) 
Yahor AKULICH (BLR) 
Oktay HASAN (BUL) 
Saifedine ALEKMA (FRA) 
Nika KENTCHADZE(GEO) 
Tariel GAPHRINDAS HVILI (GEO) 
Zurab ERBOTSONASHVILI (GEO) 
Milan MESTER (HUN) 
Hamidreza ZARINPEYKAR (IRI) 
Narbek IZABEKOV (KGZ)
Saiakbai USUPOV (KGZ)
Andrius MAZEIKA (LTU) 
Omarskhab NAZHMUDINOV (ROU) 
Vasile-Mandalin MINZALA (ROU) 
Jakub SYKORA (SVK) 
Abdullah ARSLAN (TUR) 
Abdulvasi BALTA (TUR) 
Ramazan SARI (TUR) 
Tarik GUR (TUR) 
Maksym BRES (UKR)
Nazar BOHDANETS (UKR)
Valentyn BABII (UKR)
Vasyl MYKHAILOV (UKR)
Viacheslav KOPOT (UKR)

Ali SHABANAU (BLR), quadruple médaillé mondial de bronze, est en tête d'affiche des 86kg (Photo : Martin Gabor)

86kg
Hovhannes MKHITARYAN (ARM) 
Benjamin GREIL (AUT) 
Ali SHABANAU (BLR) 
Raman CHYTADZE (BLR) 
Rasul TSIKHAYEU (BLR) 
Akhmed MAGAMAEV (BUL) 
Dzhemal ALI (BUL) 
Hunter LEE(CAN) 
Saba CHIKHRADZE (GEO) 
Sandro AMINASHVILI (GEO) 
Ahmed DUDAROV (GER) 
Georgios SAVVOULIDIS (GRE) 
Amirhossein FIROUZPOURBANDPEI (IRI) 
Uri KALASHNIKOV (ISR) 
Mirlan CHYNYBEKOV (KGZ)
Nurtilek KARYPBAEV (KGZ)
Edgaras VOITECHOVSKIS (LTU) 
Piotr IANULOV (MDA) 
Sebastian JEZIERZANSKI (POL) 
Stefan REICHMUTH (SUI) 
Akhsarbek GULAEV (SVK) 
Boris MAKOEV (SVK) 
Selim YASAR (TUR) 
Demid KARACHENKO (UKR)
Illia ARCHAIA (UKR)
Khasan ZAKARIIEV (UKR)
Mraz DZHAFARIAN (UKR)
Mukhammed ALIIEV (UKR)
Nazar Dod (UKR)
Oleksii SHCHERBAK (UKR)
Rustam DUDAIEV (UKR)
Vladyslav PRUS (UKR)

92kg
Osman NURMAGOMEDOV (AZE) 
Amarhaji MAHAMEDAU (BLR) 
Arkadzi PAHASIAN (BLR) 
Haji RAJABAU (BLR) 
Irakli MTSITURI (GEO) 
Mohammad ALITABARFIROUZJAH (IRI) 
Doolotbek ZHAMGYRBEK (KGZ)
Mihai-Nicolae PALAGHIA (ROU) 
Samuel SCHERRER (SUI) 
Arif OZEN (TUR) 
Andrii VLASOV (UKR)
Glib GRYNCHENKO (UKR)
Roman RYCHKO (UKR)

Le champion olympique de Londres Sharif SHARIFOV (AZE) luttera en 97kg (Photo: Martin Gabor)

97kg
Mohammed FARDJ (ALG)
Marzpet GALSTYAN (ARM) 
Islam ILYASOV (AZE) 
Sharif SHARIFOV (AZE) 
Vasil PAULIUCHENKA (BLR) 
Ahmed BATAEV (BUL) 
Elisbar ODIKADZE (GEO) 
Zuriko URTASHVILI (GEO) 
Wladimir REMEL (GER) 
Timofei XENIDIS (GRE) 
Symbat SULAIMANOV (KGZ)
Lukas KRASAUSKAS (LTU) 
Radu LEFTER (MDA) 
Albert SARITOV (ROU) 
Michael MANEA (ROU) 
Suleyman KARADENİZ (TUR) 
Daniil PIDLYPINETS (UKR)
Danylo STASIUK (UKR)
Ivan MALIN (UKR)
Magamed ZAKARIIEV (UKR)
Murazi MCHEDLIDZE (UKR)
Valerii ANDRIITSEV (UKR)
Vasyl SOVA (UKR)

125kg
Djahid BERRAHAL (ALG)
Hovhannes MAGHAKYAN (ARM) 
Yuri PATRIKEEV (ARM) 
Johannes LUDESCHER (AUT) 
Vaxid GALAYEEV (AZE) 
Vitali PIASNIAK (BLR) 
Islam ADIZOV (BUL) 
Solomon MANASHVILI (GEO) 
Asghar LAGHARI (GER) 
Daniel LIGETI (HUN) 
Lior ALTSHULER (ISR) 
Aiaal LAZAREV (KGZ)
Samhan JABRAILOV (MDA) 
Kamil KOSCIOLEK (POL) 
Enes KAAN SÖKELEN (TUR) 
Hüseyin SOGUKOGLU (TUR) 
Oktay GUNGOR (TUR) 
Paşa EKREM KARABULUT (TUR) 
Artem GASHENKO (UKR)
Danylo KARTAVYI (UKR)
Oleksandr KHOTSIANIVSKII (UKR)
Oleksandr KOLDOVSKYI (UKR)
Vazha DAIAURI (UKR)
Yurii IDZINSKII (UKR)

Champion du monde 2019, Nugzari TSURTSUMIA (GEO) est inscrit en 55kg (Sachiko Hotaka)

Lutte gréco-romaine

55kg
Rudik MKRTCHYAN (ARM) 
Nugzari TSURTSUMIA (GEO) 
Ramaz SILAGAVA (GEO) 
Sajjad ABBASPOURRAGANI (IRI) 
Nurmukhmmet ABDULLAEV (KGZ)
Koriun SAHRADIAN (UKR)
Taras KRUPSKYI (UKR)
Viacheslav BAYRAKTAR (UKR)
Ilkhom BAKHROMOV (UZB) 
Jasurbek ORTIKBOEV (UZB) 

60kg 
Abdeldjebbar DJEBBARI (ALG)
Abdelkrim FERGAT (ALG)
Armen MELIKYAN (ARM) 
Gevorg GHARIBYAN (ARM) 
Edmond NAZARYAN (BUL) 
Ivo ANGELOV (BUL) 
Adam MACFADYEN (CAN) 
Andy JUAN (ESP) 
Amiran SHAVADZE (GEO) 
Dato CHKHARTISHVILI (GEO) 
Gizo MELADZE (GEO) 
Irakli DZIMISTARISHVILI (GEO) 
Ali Reza NEJATI (IRI) 
Zholaman SHARSHENBEKOV (KGZ)
Andrii SEMENCHUK (UKR)
Andriy MARTYNYUK (UKR)
Ihor KUROCHKIN (UKR)
Mykhaylo STUPIN (UKR)
Mykola YAKHONTOV (UKR)
Viktor PETRYK (UKR)
Vladyslav KUZKO (UKR)

63kg
Hrachya POGHOSYAN (ARM) 
Murad HARUTYUNYAN (ARM) 
Yasin OZAY (FRA) 
Leri ABULADZE (GEO) 
Levan KAVJARADZE (GEO) 
Armin MOHEB SABET (IRI) 
Kaly SULAIMANOV (KGZ)
Kerem KAMAL (TUR) 
Hevorh ARZUMANIUAN (UKR)
Maksym LIU (UKR)
Myroslav SOLOVIAN (UKR)
Nasrullakh NASIBOV (UKR)
Oleksandr HRUSHYN (UKR)
Vasyl VASYLKIVSKYI (UKR)

67kg
Abdelmalek MERABET (ALG)
Karen ASLANYAN (ARM) 
Slavik GALSTYAN (ARM) 
Deivid DIMITROV (BUL) 
Ivo ILIEV (BUL) 
Daniel COLES (CAN) 
Marcos SANCHEZ-SILVA (ESP) 
Stefan CLEMENT (FRA) 
Giorgi SHOTADZE (GEO) 
Joni KHETSURIANI (GEO) 
Ramaz ZOIDZE (GEO) 
Mohammad ELYASI (IRI)  
Seyed Danial SOHRAB I(IRI) 
Amantur ISMAILOV (KGZ)
Marlen ASIKEEV (KGZ)
Anton KUTSENKO (UKR)
Dmytro MIROSHNYK (UKR)
Edem SALIIEV (UKR)
Oleksandr DERKACH (UKR)
Oleksii MASYK (UKR)
Ruslan KUDRYNETS (UKR)
Serhii HRUSHYN (UKR)
Vitaliy FUGLAYEV (UKR)
Aram VARDANYAN (UZB) 
Makhmud BAKHSHILLOEV (UZB) 
Mirzobek RAKHMATOV (UZB)

72kg
Malkhas AMOYAN (ARM) 
Vladislav MANKEVICH (BLR) 
Ibrahim GHANEM (FRA) 
Otar ABULADZE (GEO) 
Shmagi BOLKVADZE (GEO) 
Mohammad Reza MOKHTARI (IRI) 
Atakan YUKSEL (TUR) 
Andrii KULYK (UKR)
Dmytro PYNKOV (UKR)
Ihor BYCHKOV (UKR)
Mykyta POLITAIEV (UKR)
Vladyslav KRAVCHENKO (UKR)

Deux fois médaillé mondial, Mohammadali GERAEI (IRI), dit 'Le Faucon', attends les 77kg (Photo : Sachiko Hotaka)

77kg
Abdelkrim OUAKALI (ALG)
Karapet CHALYAN (ARM) 
Varuzhan GRIGORYAN (ARM) 
Mikita KAZAKOU (BLR) 
Aik MNATSAKANIAN (BUL) 
Stoyan KUBATOV (BUL) 
Jair Alexis CUERO MUNOZ (COL) 
Yuisralembert CARRION (ESP) 
Johnny BUR (FRA) 
Bakuri GOGOLI (GEO) 
Sachino DAVITAIA (GEO) 
Amin KAVIYANINEJAD (IRI) 
Mohammadali GERAEI (IRI) 
Roman ZHERNOVETSKI (ISR) 
Akzhol MAKHMUDOV (KGZ)
Kairatbek TUGOLBAEV (KGZ)
Marcel STERKEUBURG (NED) 
Dmytro PYSHKOV (UKR)
Elmar NURALIIEV (UKR)
Oleksandr KUKHTA (UKR)
Pavlo MOLNAR (UKR)
Volodymyr YAKOVLIEV (UKR)
Yasaf ZEINALOV (UKR)

82kg
Artavazd VARDANYAN (ARM) 
Rosian DERMANSKI (BUL) 
Aivengo RIKADZE (GEO) 
Demuri KAVTARADZE (GEO) 
Mohammad NAGHOUSI (IRI) 
Kalidin ASYKEEV (KGZ)
Artem MATIASH (UKR)
Dmytro GARDUBEI (UKR)
Hlib SKOROFATOV (UKR)
Iurii SKRIUBA (UKR)
Ivan KRAICHEV (UKR)
Oleksii OSNIACH (UKR)
Jalgasbay BERDIMURATOV (UZB)

Le champion d'Europe en titre des 87kg Semen NOVIKOV (UKR) (Photo : Sachiko Hotaka)

87kg
Bachir SID AZARA (ALG)
Gevorg TADEVOSIYAN (ARM) 
Daniel ALEKSANDROV (BUL) 
Svetoslav NIKOLOV (BUL) 
Tarek ABDELSLAM (BUL) 
Yoan DIMITROV (BUL) 
Yiannis NARLIDIS (CAN) 
Lasha GOBADZE (GEO) 
Roberti KOBLIASHVILI (GEO) 
Tornike DZAMASHVILI (GEO) 
Ramin TAHERISARTANG (IRI) 
Azat SALIDINOV (KGZ)
Tyrone STERKENDURG (NED) 
Andrii ANTONIUK (UKR)
Davyd SHADT (UKR)
Dmytro KIYASHOK (UKR)
Ruslan KONIEV (UKR)
Ruslan MAHOMEDOV (UKR)
Semen NOVIKOV (UKR)
Serhii OMELIN (UKR)
Vitalii ANDRIIOVYCH (UKR)

97kg
Adem BOUDJEMLINE (ALG)
Artur ALEKSANYAN (ARM) 
Artur SHAHINYAN (ARM) 
Kiril MILOV (BUL) 
Jesus GASCA (ESP) 
Giorgi MELIA (GEO) 
Irakli KAJAIA (GEO) 
Revazi NADAREISHVILI (GEO) 
Mehdi BALIHAMZEDEN (IRI) 
Beksultan MAKHMUDOV (KGZ)
Uzur DZHUZUPBEKOV (KGZ)
Metehan BASAR (TUR) 
Andrii DEHTIAROV (UKR)
Oleksandr YEVDOKIMOV (UKR)
Valentyn SHKLIARENKO (UKR)
Vladlen KOZLUYK (UKR)
Yevhenii SAVETA (UKR)
Zielimkhan DZIHASOV (UKR)
Jahongir TURDIEV (UZB)

130kg
Hichem KOUCHIT (ALG)
David OVASAPYAN (ARM) 
Radoslav GEORGIEV (BUL) 
Jakob KAJAIA (GEO) 
Levani ARABULI (GEO) 
Zviadi PATARIDZE (GEO) 
Amin MIRZAZADEH (IRI) 
Amir GHASEMIMONJEZI (IRI) 
Roman KIM (KGZ)
Mykhailo VYSHNYVETSKYI (UKR)
Oleksandr CHERNETSKYY (UKR)
Sviatoslav KALASHNIKOV (UKR)
Vladyslav KOVALENKO (UKR)
Vladyslav VORONYI (UKR)
Muminjon ABDULLAEV (UZB) 

La championne du monde 2019 Aiusuluu TYNYBEKOVA (KGZ) fera sa première apparition depuis sa médaille d'or de la Coupe du Monde Individuelle 2020 (Photo : Kadir Caliskan)

Lutte féminine

50kg 

Ibtissem DOUDOU (ALG)
Turkan NASIROVA (AZE) 
Natallia VARAKINA (BLR) 
Viyaleta REBIKAVA-CHYRYK (BLR) 
Madison PARK (CAN) 
Jekaterina JERMALONOKA (LAT) 
Kamile SERNAUSKATE (LTU) 
Mariana DRAGUTAN (MDA) 
Ramona ERIKSEN (NOR) 
Agata WALERZAK (POL) 
Anna ŁUKASIAK (POL) 
Iwona MATKOWSKA (POL) 
Emilia-Alina VUC (ROU) 
Stefania-Claudia PRICEPUTU (ROU) 
Aynur ERGE (TUR) 
Bohdana YASHCHUK (UKR)
Liliia MALANCHUK (UKR)
Oksana LIVACH (UKR)
Veronika MOSKALOVA (UKR)
Yana SOROKA (UKR)
Dauletbike YAKHSHIMURATOVA (UZB) 
Jasmina IMMAEVA (UZB)

53kg 
Lamia CHEMLAL (ALG)
Leyla GURBANOVA (AZE) 
Tatyana VARANSOVA (AZE) 
Vanesa KALADZINSKAYA (BLR) 
Sezen BELBEROVA (BUL) 
Diana WEICKER (CAN) 
Samanta STEWART (CAN) 
Marina RUEDA (ESP) 
Iulia LEORDA (MDA) 
Silje Knutsen KIPPERNES (NOR) 
Alicja CZYŻOWICZ (POL) 
Katarzyna KRAWCZYK (POL) 
Roksana ZASINA (POL) 
Andreea-Beatrice ANA (ROU) 
Esra PUL (TUR) 
Zeynep YETGİL (TUR) 
Iryna HUSYAK (UKR)
Khrystyna BEREZA (UKR)
Liliya HORISHNA (UKR)
Mariia VYNNYK (UKR)
Aktenge KEUNIMJAEVA (UZB) 

55kg
Othelie Annette HOEIE (NOR) 
Anastasiia KRAVCHENKO (UKR)
Anna VOITOVA (UKR)
Khrystyna-Zoryana DEMKO (UKR)
Nataliia KLIVCHUTSKA (UKR)
Oleksandra KHOMENETS (UKR)
Madina USMONJONOVA (UZB)

Anastasia NICHITA (MDA) remonte sur les tapis pour la première fois depuis son titre à la Coupe du Monde Individuelle fin 2020 (Photo : Gabor Martin)

57kg
Rayan HOUFAF (ALG)
Alyona KOLESNIK (AZE) 
Iryna KURACHKINA (BLR) 
Giullia RODRIGUES DE OLIVEIRA (BRA) 
Biliana DUDOVA (BUL) 
Tianna KENNETT (CAN) 
Graciela SANCHEZ (ESP) 
Maria Victoria BAEZ (ESP) 
Nuraida ANARKULOVA (KGZ)
Sezim ZHUMANAZAROVA (KGZ)
Anastasia NICHITA (MDA) 
Grace Jacob BULLEN (NOR) 
Angelina ŁYSAK (POL) 
Jowita WRZESIEŃ (POL) 
Magdalena GŁODEK (POL) 
Patrycja GIL (POL) 
Bediha GUN (TUR) 
Mehlika OZTURK (TUR) 
Alina HRUSHYNA (UKR)
Iryna KHARIV (UKR)
Solomiia VYNNYK (UKR)
Laylokhon SOBIROVA (UZB) 
Sevara ESHMURATOVA (UZB) 
Shokhida AKHMEDOVA (UZB) 

59kg
Ineta DANTAITE (LTU) 
Kateryna ZELENYKH (UKR)
Laura Sofia AAK (NOR) 
Mariana CHERDIVARA (MDA) 
Nazira MARSBEK KYZY (KGZ)
Oksana MOSKALOVA (UKR)
Sofiia BODNAR (UKR)
Yuliia LISOVSKA (UKR)

62kg 
Amel HAMMICHE (ALG)
Tetiana OMELCHENKO (AZE) 
Krystsina SAZYKINA (BLR) 
Tatsiana PAULAVA (BLR) 
Veranika IVANOVA (BLR) 
Lais NUNES DE OLIVEIRA (BRA) 
Jessica BROUILLETTE (CAN) 
Michelle FEZZARI (CAN) 
Jackeline CASTILLO (COL) 
Lydia PEREZ (ESP) 
Aiusuluu TYNYBEKOVA (KGZ)
Alina Aleksandra ANTIPOVA (LAT) 
Aleksandra WÓLCZYŃSKA (POL) 
Katarzyna MĄDROWSKA (POL) 
Natalia KUBATY (POL) 
Kriszta-Tuende INCZE (ROU) 
Asli TUGCU (TUR) 
Cansu AKSOY (TUR) 
Antonyna KULAHINA (UKR)
Ilona PROKOPEVNIUK (UKR)
Tetiana RІZHKO (UKR)
Yuliia TKACH (UKR)
Ariukhan JUMABAEVA (UZB) 
Nabira ESENBAEVA (UZB) 
Rushana ABDIRASULOVA (UZB) 

65kg
Elis MANOLOVA (AZE) 
Irina RINGACI (MDA) 
Henna JOHANSSON (SWE) 
Anastasia OSTAPYK (UKR)
Manola SKOBELSKA (UKR)
Mariia ILCHYSHYN (UKR)
Oksana KUKHTA (UKR)

Meerim ZHUMANAZAROVA (KGZ), championne de sa catégorie lors de la Coupe du Monde Individuelle, concourera en 68kg. (Photo : Sachiko Hotaka)

68kg
Irina NETREBA (AZE) 
Hanna SADCHANKA (BLR) 
Maria MAMASHUK (BLR) 
Yuliana YANEVA (BUL) 
Olivia DI BACCO (CAN) 
Meerim ZHUMANAZAROVA (KGZ)
Elma ZEIDLERE (LAT) 
Danute DOMIKAITYTE (LTU) 
Agnieszka WIESZCZEK –KORDUS (POL) 
Natalia STRZAŁKA (POL) 
Alexandra-Nicoleta ANGHEL (ROU) 
Asli DEMİR (TUR) 
Buse TOSUN (TUR) 
Nesrin BAS (TUR) 
Alina BEREZHNA (UKR)
Alina RUDNYTSKA (UKR)
Alla CHERKASOVA (UKR)
Anna MAZURKEVYCH (UKR)
Oksana CHUDYK (UKR)
Oryna BILOUS (UKR)
Svetlana OKNAZAROVA (UZB) 

72kg
Gozal ZUTOVA (AZE) 
Alla BELINSKA (UKR)
Anastasiya ALPYEYEVA (UKR)
Romana VOVCHAK (UKR)
Ozoda ZARIPBOEVA (UZB)

76kg 
Sabira ALIYEVA (AZE) 
Vasilisa MARZALIUK (BLR) 
Aline DA SILVA FERREIRA (BRA) 
Erica WIEBE (CAN) 
Mae EPP (EST) 
Aiperi MEDET KYZY (KGZ)
Kamile GAUCAITE (LTU) 
Iselin Maria Moen SOLHEIM (NOR) 
Patrycja SPERKA (POL) 
Catalina AXENTE (ROU) 
Aysegul OZBEGE (TUR) 
Yasemin ADAR (TUR) 
Anastasiia OSNIACH (UKR)
Anna MELNYK (UKR)
Liudmyla PAVLOVETS (UKR)