Japon

Attendance réduite et sécurité pour la reprise des camps d'entraînement de l'équipe nationale japonaise

By Ken Marantz

TOKYO―Il y avait quelque chose d'inhabituel lors du lancement du camp d'entraînement de l'équipe du Japon - entre autres choses, seuls huit athlètes étaient présents.

Mais nous sommes dans une époque troublée. Le fait que le Japon ait finalement pu, au milieu d'une pandémie mondiale, remonter sur les tapis pour la première fois en 3 mois et demi constitue une avancée majeure pour le pays hôte des prochains Jeux Olympiques repoussés d'un an, qui peut ainsi commencer sa préparation à long terme.

Yukako et Risako KAWAI se désinfectent les mains à l'entrée de la salle de lutte du Centre national d'entraînement (CNE) de Tokyo. (photo : Sachiko Hotaka/JWF)

"Je suis vraiment heureuse de revoir les membres de l'équipe nationale après si longtemps," a déclaré Yukako KAWAI, l'une des quatre lutteuses de l'équipe olympique participant au camp féminin qui a commencé le jeudi 2 juillet. "Nous avions habituellement un camp par mois et même si nous ne sommes pas retournés à la normale, je suis contente de pouvoir à nouveau lutter ici."

Respectant les volumineuses directives soigneusement établies par le comité des sciences sportives de la Fédération japonaise de lutte, les camps du Centre national d'entraînement de Tokyo suivront de strictes protocoles afin de prévenir la diffusion du coronavirus, dont les effets sur le monde du sport sont dévastateurs.

En addition aux directives habituelles de port de masque, de lavage des mains et d'utilisation de désinfectant, ces directives appellent également à limiter le nombre de personnes présentes dans la salle de lutte à un moment donné. Ceci est obtenu par l'organisation différenciée des camps par style de lutte avec un minimum de période de chevauchement, en invitant principalement ceux et celles déjà en possession d'une place olympique ou qui seront parties prenantes des qualificatifs olympiques.

"Les camps d'entraînement - de lutte féminine, gréco-romaine et libre - n'ont pas pour but d'améliorer le niveau," a déclaré le directeur national du développement technique Shigeki NISHIGUCHI. "Ces camps visent spécifiquement les JO de Tokyo. Nous en avons donc limité le nombre, particulièrement pour juillet. Selon les circonstances, nous espérons être capables d'augmenter la fréquence en août et septembre. Mais le principal est de faire barrière au coronavirus."

Les athlètes conservent depuis le 16 juin le relevé quotidien de leur température corporelle, de leur santé générale et de tout contact externe qu'ils ont pu avoir. Tous ont fait un test d'anticorps avant le camp et, à l'exception d'une course rapide à un commerce de proximité, ils n'ont en principe pas le droit de quitter le centre.

Le camp de lutte féminine est le premier, du 2 au 8 juillet, suivi par la lutte gréco-romaine du 6 au 11 et par la lutte libre du 23 au 28. Un camp par mois sera organisé pour chaque style en août et septembre prochains, également presque séparément.

Yui SUSAKI par en ramassement lors d'un exercice d'amené au sol. (photo : Sachiko Hotaka/JWF)

Quatre des cinq membres de l'équipe olympique de lutte féminine - les championnes en titre Risako KAWAI (57kg), Sara DOSHO (68kg), la petite soeur de Risako Yukako (62kg) et Hiroe MINAGAWA (76kg) - ont rejoint les six tapis de la salle de lutte du CNE jeudi dernier, ainsi que la double championne du monde Yui SUSAKI (50kg) qui espère obtenir un billet olympique lors du qualificatif Asie prévu en mars prochain. Trois autres personnes étaient également présentes.

Absente du quintet olympique, la médaillée mondiale d'argent Mayu MUKAIDA (53kg), récemment diplômée de la fameuse université de Shigakkan. Elle a rejoint la firme de haute technologie JTEKT en tant qu'athlète sponsorisée et a des engagements envers cette entreprise. 

Hors les coaches, le personnel et les officiels de la Fédération, les seuls personnes permises dans la salle de lutte sont l'équipe du website de la Fédération japonaise et un correspondant UWW. Les médias japonais ont pu observer l'entraînement en streaming, et tenir une "conférence de presse" avec chaque lutteuse après la session.

Chaque personne pénétrant dans la salle devait se désinfecter les mains et avait sa température prise. Les lutteuses ont également désinfecté les semelles de leurs chaussures de lutte. Tous, coaches compris sauf les lutteuses en exercice, portaient constamment des masques.

À ce stade, la politique de la Fédération est de commencer doucement et d'augmenter la cadence en vue des Jeux Olympiques, faisant ce qui est possible pour éviter des blessures. La session ne comportait ainsi pas de lutte en direct. La première heure était faite d'étirements et de montée en pression des muscles principaux, suivis d'exercices tels que des ramassements de jambe par l'extérieur, des amenés au sol et des ceintures en pont. L'ambiance était relaxée mais concentrée sur les exercices à réaliser.

"Il y a encore un an et un mois avant les JO, alors nous voulons solidement consolider les fondamentaux et éviter les blessures," dit Nishiguchi. "Nous commençons par les choses fondamentales. Les lutteuses ont peut-être l'impression que ce n'est pas assez. Mais il n'y a aucune raison d'aller plus vite que la musique."

Sara DOSHO travaille un exercice de renforcement. (photo : Sachiko Hotaka/JWF)

Les éclopées
Ironiquement, alors qu'éviter les blessures est la priorité, trois des lutteuses olympiques souffrent actuellement de divers handicaps. En fait, Minagawa a profité du repos forcé pour subir une opération du genou tandis que  Dosho, qui délare s'être complètement remise de son opération à l'épaule de début 2019, continue à soigner un genou mal en point ; et Risako Kawai s'est faite un tour de reins.

"C'est une situation chronique depuis à peu près un an," dit Minagawa, médaillée mondiale d'argent en 2019, au sujet de son genou droit dont elle a subi l'ablation du ménisque. "C'était particulièrement dur en mars. Avec les JO [originellement] en août, il était impossible d'avoir une opération. Je pensais continuer et juste ignorer le problème, puis le report a été décidé."

Nishiguchi remarque que pour quelques personnes comme Minagawa, il y a un côté positif au report des JO pour cause de pandémie, puisque cela leur donne une année pour récupérer de leurs blessures.

Lors du pic de la pandémie au Japon, de début avril à début mai, le gouvernement avait déclaré l'état d'urgence, ce qui ne lui avait cependant pas permis d'imposer la fermeture des magasins, l'utilisation des masques ou la distanciation sociale. Mais les gouverneurs des préfectures du pays ont pu demander que de telles mesures soient respectées volontairement, un auto-confinement largement suivi par le public.

Comme les autres, Minagawa était alors obligée de se contenter de s'entraîner à la maison et de courir à l'extérieur car aucune salle de lutte ou de gym n'était restée ouverte.

"Pendant cette période d'auto-confinement, je devais rester à la maison et mentalement, ce fut difficile," dit-elle. "Récemment, l'état d'urgence a été levé, j'ai donc pu sortir plus et les camps nationaux ont rouvert, ce qui m'a aidé à remonter la pente. Je suis plus à même de regarder devant positivement."

Dosho dit qu'elle ressent encore quelques douleurs dans son genou, et que le soutien qu'elle reçoit allège le désagrément. Après avoir échoué à obtenir une médaille au championnat du monde, elle reste déterminée à faire amende honorable en devenant championne olympique encore une fois.

"Mon objectif de remporter une médaille d'or n'a pas changé d'un iota," dit-elle. "Je crois que tout ira bien si je reste patiente et y vais doucement à l'entraînement."

Risako KAWAI soulève la jambe de sa partenaire lors d'un exercice d'amené au sol. (photo : Sachiko Hotaka/JWF)

Et maintenant elle cuisine
Pour Risako Kawai, qui a remporté son quatrième titre mondial en septembre dernier à Noursoultan, rester à la maison lui a donné la possibilité d'apprendre quelque chose du monde réel, extérieur à celui du sport - comme comment cuisiner.

"Depuis le lycée, j'ai toujours pris mes repas au dortoir, et même après avoir terminé l'université, je pouvais manger là-bas," dit-elle. "Mais pendant la période d'auto-confinement, nous ne pouvions pas bouger. C'est la première fois que je devais préparer mes propres repas pour une si longue durée, même à mon âge."

Déclarant qu'elle a aussi fait du Pilate pour la première fois, Kawai a trouvé des recettes sur internet.

"Je n'avais jamais préparé de repas frits, mais j'ai pu faire un essai," dit-elle. "Plutôt que me concentrer sur une spécialité, j'ai tenté différentes choses."

Sa petite soeur Yukako, comme Risako un produit de Shigakkan, a eu du mal a s'éloigner de la vie couvée de l'université. "J'ai vraiment apprécié ma mère, qui nous préparait nos repas," dit-elle. 

Shigakkan a récemment réouvert ses installations et les Kawai ont pu remonter sur les tapis avant les camps nationaux, mais sans lutte active. 

"Naturellement, ma force a diminué par rapport à d'habitude," dit Risako. "Mais je ne ressens aucun changement dans mon rapport à la lutte."

Quant à remonter sur les tapis, ajoute-t-elle, "C'est la première fois depuis longtemps que les coaches m'observent travailler avec une partenaire. C'est un sentiment rafraîchissant." 

Elle dit qu'elle a récupéré à 80% son problème de dos et prend soin de ne pas rechuter. Lors des exercices de son premier entraînement, elle n'a pas fait de lutte au sol.

Yukako KAWAI takes down her practice partner. (photo by Sachiko Hotaka/JWF)

Les cheveux aujourd'hui et demain, loin
Parmi les principaux sujets de conversation du camp ne concernant pas la lutte, le nouveau look de Yukako Kawai était en première ligne : elle a surpris tout le monde pour avoir fait une coupe au bol de sa longue chevelure.

"C'est la première fois depuis l'école primaire que j'ai cette longueur," dit-elle. "C'est nouveau pour moi."

Kawai déclare qu'elle a coupé ses boucles juste avant le début de la période d'auto-confinement en mars, avant que les salons de coiffure ne ferment.

"J'ai toujours voulu les couper mais je n'en ai jamais eu le courage," ajoutant qu'elle avait pris cette résolution suite à un incident à New Delhi en février. "Au championnat d'Asie, on m'a tiré les cheveux. C'est là que j'ai décidé que j'en avais assez."

"A l'époque, les JO n'avaient pas encore été reportés. J'ai pensé que ce serait radical pour me mettre dans l'esprit du sprint vers les Jeux."

Ses courtes tresses ne sont pas le seul nouvel aspect de la vie de Kawa. Comme Mukaida, elle a obtenue son diplôme de Shigakkan pour rejoindre une compagnie avec un contrat qui lui permet de continuer à se dédier complètement à la lutte. Elle rejoint Risako comme employée de Japan Beverage, qui emploie également la lutteuse maintenant retraitée plusieurs fois championne du monde et médaillée olympique Kyoko HAMAGUCHI. 

"Jusqu'à maintenant, j'étais dans l'équipe de lutte en tant qu'étudiante," commente Kawai.. "Aujourd'hui la lutte est mon métier. C'est mon métier d'obtenir des résultats et de rembourser l'entreprise. Je ressens plus de responsabilité qu'avant. Je dois faire preuve de plus de discernement sur mes performances. Je suis reconnaissante qu'ils m'offrent le même environnement de lutte qu'auparavant, et je veux réussir et que mon entreprise sois contente."

Tandis que le programme international de lutte reste dans les limbes, Kawai déclare qu'elle ne se sent pas concernée par l'absence de tournoi spécidique pour lequel elle se préparerait au camp national. 

"Je n'y ai pas vraiment pensé," dit-elle. "Je pose un objectif pour chaque jour d'entraînement et je pense à comment l'atteindre. Plutôt que sur les tournois, je travaille à dépasser les problèmes que je peux avoir."

#WrestleBaku

Coupe du monde gréco-romaine : L'Azerbaïdjan contre l'Iran pour le titre

By Vinay Siwach

BAKU, Azerbaïdjan (5 novembre) -- La Coupe du monde gréco-romaine à Baku a débuté avec la Turquie et l'Iran. Une bataille serrée s'est terminée avec la victoire de l'Iran, suivie d'une victoire sur le Kirghizstan pour obtenir une place en finale. Dans le Groupe A, l'Azerbaïdjan et l'équipe All-World se sont affrontés et ont terminé par 5 victoires chacun.  Au classement, l'Azerbaïdjan a battu l'équipe All-World 22 à 20. La Turquie et le Kirghizstan ont lutté pour une place dans le match de la 3/4ème place contre l'équipe All-World. La Turquie a battu le Kirghizstan 7-3.

Azerbaïdjan affrontera l'Iran pour le titre de la Coupe du monde tandis que la Turquie et l'équipe All-World s'affronteront pour la troisième place. L'action commencera à 17:00 heure locale à Baku.

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22:25 : Le dernier combat de la journée et le champion du monde U23 Fatih BOZKURT (TUR) épingle Erlan MANATBEKOV (KGZ) en 130kg pour donner à la Turquie une victoire 7-3 dans le duel.

22:20 : Metehan BASAR (TUR) l'a fait pour la Turquie. Sa victoire sur U. DZHUZUPBEKOV (KGZ) est la sixième du duel pour la Turquie qui affrontera l'équipe All-World pour le bronze.

22:05 : Drame tardif dans le combat des 87kg entre A. AZISBEKOV (KGZ) et Ali CENGIZ (TUR). Azisbekov menait 1-1 sur critères quand il a essayé de projeter Cengiz. A la fin de la mêlée, Azisbekov mène 3-3. La Turquie conteste l'appel et il semble que Cengiz a commis une faute de jambe. Le score est 4-1 et Azisbekov gagnera le combat avec ce score. Le Kirghizstan mène 5-3 avec deux combats restant.

21:52 : Le champion du monde Burhan AKBUDAK (TUR) avec deux énormes projections remporte une victoire par supériorité technique 9-0 sur Kalidin ASYKEEV (KGZ). Maintenant la Turquie a besoin d'une seule victoire pour être qualifiée pour le match de la médaille de bronze contre l'équipe All-World.

21:45 : Akylbek TALANTBEKOV (KGZ) a réussi à revenir sur Yuksel SARICICEK (TUR) en seconde période mais il s'incline 5-5 sur critères et la Turquie mène désormais 4-2. Deux victoires de plus pour eux pour confirmer la place dans le combat pour la médaille de bronze.

21:35 : Le Kirghizstan avait besoin de cette victoire mais Selcuk CAN (TUR) s'oppose à Adilkhan NURLANBEKOV (KGZ) en 72kg avec une victoire 5-3 et la Turquie mène désormais le combat 3-2.

21:22 : Murat FIRAT (TUR) s'impose pour la Turquie. Il bat IBRAGIMOV Khalmurat (KGZ) 6-1 en 67kg et la Turquie égalise le duel 2-2 contre le Kirghizstan. 

21:10 : Ahmet UYAR (TUR) ramène une victoire en battant Kaly SULAIMANOV (KGZ) 5-1 en 63kg. La Turquie a maintenant un victoire contre deux pour le Kirghizstan. 

21:00 : Une avance 2-0 maintenant pour le Kirghizstan. Nurmukhammet ABDULLAEV (KGZ) bat Mukremin AKTAS (TUR) 6-1 et poursuit le bon départ pour le Kirggizstan. Les deux nations s'affrontent pour une place pour le combat de la médaille de bronze contre l'équipe All-World.

20:50 : Quel spectacle de la part de Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ) qui fait rouler Ekrem OZTURK (TUR) pour un quatre point avant d'obtenir un gut pour faire 6-0. Un takedown lui donne la victoire 8-0.

20:40 : Maintenant pour le dernier match de la session. La Turquie affronte le Kirghizistan pour une place dans le match pour la médaille de bronze contre All-World. Nous commençons paEV (AZE) 5-2 et maintenant l'équipe All-World a une chance de gagner. En 130kg, Mantas KNYSTAUTAS (UWW) doit épingler Sabah SHARIATI (AZE).r les 55kg avec Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ) contre Ekrem OZTURK (TUR).

Le match aurait pu tourner en faveur de l'équipe All-World si Joni KHETSURIANI (UWW) avait marqué un point contre Hasrat JAFAROV (AZE). Un cas de si et de mais, mais finalement c'est l'Azerbaïdjan qui se qualifie pour la finale.

20:30 : Mantas KNYSTAUTAS (UWW) obtient la victoire 5-1 sur Sabah SHARIATI (AZE) mais il ne parvient pas à l'épingler. Cela signifie que l'Azerbaïdjan se qualifiera pour la finale sur la base des points de classement. Les deux équipes ont eu cinq victoires mais l'Azerbaïdjan a 22 points de classement contre 20 pour l'équipe All-World.

20:15 : Nikoloz KAKHELASHVILI (UWW) ajoute du drame à ce duel. Il bat Arif NIFTULLAY

20:07 : L'équipe All-World peut-elle faire un retour ? Alex KESSIDIS (UWW) bat Murad AHMADIYEV (AZE) 3-2 pour porter le score à 5-3. L'équipe All-World doit gagner les deux combats restants par supériorité technique ou par chute. 

20:00 : Dans une revanche des Championnats du Monde, Jalgasbay BERDIMURATOV (UWW) lutte contre Rafig HUSEYNOV (AZE) en 82kg. Berdimuratov abandonne le premier par terre mais s'en sort rapidement. Berdimuratov prend l'avantage dans la deuxième période. Huseynov parvient à obtenir un lift et une projection mais elle n'est pas comptabilisée. L'Azerbaïdjan conteste et la vérification confirme un contact à trois points et deux points pour Huseynov. Berdimuratov obtient un takedown mais Huseynov conteste à nouveau un leg four par Berdimuratov. Huseynov gagne 3-1. L'Azerbaïdjan mène maintenant 5-2.

19:42 : Sanan SULEYMANOV (AZE) avec une victoire très importante en 77kg sur Zoltan LEVAI (HUN). Les deux se sont échangés des passivités mais Suleymanov a obtenu le tour. Levai a tenté une projection désespérée à la fin mais Suleymanov l'a retourné dans ses propres attaques et a marqué 5 points par suplex.

19:30 : Le médaillé de bronze des championnats du monde Andrii KULYK (UWW) et le médaillé d'argent Ulvi GANIZADE (AZE) en 72kg maintenant. Ganizade obtient le premier avantage mais alors qu'il tente de soulever et de projeter Kulyk, il est plaqué au sol par Kulyk qui mène 2-1. Dans la deuxième période, Kulyk prend l'avantage mais ne parvient pas à se retourner. Mais un Ganizade fatigué se précipite pour un takedown mais ne parvient pas à contrôler et abandonne un takedown et un tour. Kulyk gagne 7-1 pour revenir dans l'équipe All-World.

19:23 : L'Azerbaïdjan a fait un grand pas vers la finale avec Hasrat JAFAROV (AZE) qui a battu Joni KHETSURIANI (UWW) 5-0 chez les 67kg. Cette victoire porte le score à 3-1 pour l'Azerbaïdjan. Le fait que Khetsuriani n'ait pas marqué de point nuit également aux chances de l'équipe All-World.

19:10 : Leri ABULADZE (UWW) et Taleh MAMMADOV (AZE) luttent maintenant en 63kg. Abuladze obtient le premier point pour  passivité de Mammadov. Mais il n'arrive pas à obtenir de tour. Mammadov obtient le point dans la deuxième période. Il mène 1-1 sur critères. Une troisième passivité du combat et va contre Mammadov. Abuladze ne peut toujours pas prendre l'avantage. Il a un peu plus d'une minute pour briser le critère de 1-1. Mammadov tient bon pour une victoire de 1-1.

19:00 : Une chute pour Aidos SULTANGALI (UWW) sur Murad MAMMADOV (AZE) chez les 60kg ! Une victoire cruciale pour l'équipe All-World car la chute leur donne cinq points de classement. En cas d'égalité 5-5, cette victoire peut s'avérer décisive.

18:50 : Cela ne se produit pas pour Nugzari TSURTSUMIA (UWW). Il se couche une nouvelle fois contre Eldaniz AZIZLI (AZE). Une passivité pour Azizli et il obtient ensuite un turgut wrenchn à deux points avant un jet pour quatre points. Un gut wrench pour terminer le combat 9-0.

18:45 : L'heure est venue pour l'Azerbaïdjan contre All-World. Le premier combat en 55kg est celui d'Eldaniz AZIZLI (AZE) contre Nugzari TSURTSUMIA (UWW).

18:42 : Une énorme victoire pour Aliakbar YOUSOFI (IRI). Il épingle Erlan MANATBEKOV (KGZ) en 130kg pour compléter la déroute 8-2 du Kirghizistan.

18:35 : C'était un suspense. Mehdi BALIHAMZEHDEH (IRI) menait Uzur DZHUZUPBEKOV (KGZ) 3-1 jusqu'à la dernière minute mais Balihamzehdeh réussit à marquer un takedown pour une victoire 3-3.

18:22 : En 87kg, Abolfazl CHOUBANI (IRI) et A. AZISBEKOV (KGZ) sont engagés dans un combat. Azisbekov prend l'avantage 1-0 pour un par terre et ensuite une exposition pour faire 3-0. Le Kirghizistan conteste pour une faute de jambe mais c'est propre. Choubani marque un point pour passivité mais Azisbekov obtient un quatre points et ensuite un takedown pour gagner 9-2.

18:10 : La première défaite pour l'Iran dans ce match. Kalidin ASYKEEV (KGZ) obtient un lift inversé pour deux points de par terre contre Mohammadhossein MAHMOODI (IRI) à 82kg. L'Iran conteste la décision mais le renvoi montre qu'il s'agit en fait de quatre points. Asykeev gagne 6-1.

18:00 : Mohammad Reza MOKHTARI (IRI) avec une victoire 7-1 sur Akylbek TALANTBEKOV (KGZ) en 77kg. Un quatre-points dans cette victoire car Mokhtari a produit une rotation complète dans cette projection.

17:50 : Amir ABDI (IRI) confirme la place en finale pour l'Iran. Il bat Adilkhan NURLANBEKOV (KGZ) en 72kg et avec cela, l'Iran va essayer de gagner le titre dimanche.

17:37 : Seyed SOHRABI (IRI) est inarrêtable ici à Bakou. Il force la première passivité du combat contre Khalmurat IBRAGIMOV (KGZ) et obtient ensuite trois tours pour mener 7-0. Ibragimov l'attrape dans le tour pendant le quatrième tour pour obtenir deux points au tableau et cherche un pin mais la tête de Sohrabi était en dehors de la zone. Le Kirghizistan a contesté cette décision mais a perdu. Un lock pour un takedown confirme une victoire 10-2 pour Sohrabi.

17:30 : Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) et Kaly SULAIMANOV (KGZ) luttent en 63kg. Khoon Mohamadi utilise l'arm drag à la perfection. Il marque un mouvement à quatre points avant d'ajouter de nombreux stepouts. Sulaimanov tente un quatre désespéré mais échoue. Khoon Mohammadi gagne 12-1.

17:22 : Mehdi MOHSEN NEJAD (IRI) avec une victoire nette 5-0 sur Nurmukhammet ABDULLAEV (KGZ) et l'Iran mène 2-0. Cette victoire relâche la pression sur les lutteurs à venir car l'Iran a besoin d'une victoire supplémentaire pour écarter toute possibilité que la Turquie ou le Kirghizistan prennent sa place.

17:10 : L'Iran n'engage pas son équipe de réserve. Poya DAD MARZ (IRI) sortira pour le combat des 55kg contre Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ). Dad Marz est appelé pour passivité dans la première période mais il se défend bien du par terre. Dad Marz marque un stepout pour faire 1-1 à la pause. Beishenbek Uulu ne peut pas défendre les tentatives de par terre de Dad Marz dans la deuxième période et abandonne quatre points. Un avertissement et deux points contre Beishenbek Uulu avant un stepout confirment la victoire 9-1 du lutteur iranien.

1700 : Bienvenue à la séance du soir de la Coupe du monde gréco-romaine. L'Iran et le Kirghizistan luttent. Ce dernier espère surprendre l'Iran et espère se qualifier pour la finale.

Fin d'une première session divertissante dans laquelle l'Iran a réussi à prendre le dessus sur la Turquie. Une victoire 6-4 a donné à l'Iran un avantage énorme et a pratiquement placé l'équipe en finale. La deuxième session commence à 17h00 heure locale.

L'Iran affronte le Kirghizstan avant que l'Azerbaïdjan ne reçoive l'équipe All-World. Le dernier match de la session du soir sera Turquie contre Kirghizstan.

11:50 : Osman YILDIRIM (TUR) et Aliakbar YOUSOFI (IRI) sont maintenant sur le tapis pour leur combat en 130kg. Yildirim mène 1-0 pour passivité et un tour fait 3-0. Mais Yousofi marque trois stepouts et un point contre Yildirim donne l'avantage 4-3 à Yousofi. Yildirim, aussi calme qu'il est, marque un takedown sur le bord et reprend l'avantage. Un point pour Yousofi pour la passivité de Yildirim mais le lutteur turc mène 5-5 sur critères et cela restera le score puisque Yousofi subit une défaite serrée.

11:40 : C'est simple pour la Turquie : Metehan BASAR (TUR) ne peut pas se permettre de perdre. Mehdi BALIHAMZEHDEH (IRI) a construit une avance de 4-0 mais Basar reçoit deux points pour avertissement. Basar a une minute pour marquer deux points et gagner. Mais Balihamzehdeh le tient à distance et gagne 4-2 et cette victoire confirme la victoire de l'Iran dans ce match.

11:32 : Quelques défis ont fait que le combat des 87kg entre Ali CENGIZ (TUR) et Hamidreza BADKAN (IRI) semblait interminable. Mais pour ce que ça vaut, Cengiz gagne le combat 11-2 et garde la Turquie dans la course. Cengiz renverse la position de par terre et obtient trois expositions ainsi qu'une faute de Badkan pour mener 8-2 à la fin de la séquence. Il gagne 11-2 dans la deuxième période.

11:10 : Le champion du monde Burhan AKBUDAK (TUR) gagne le deuxième pour la Turquie. Il était mené 3-0 à la pause, Alireza MOHMADIPIANI (IRI) ayant obtenu le premier point et le tour. Mais Akbudak marque un takedown pour commencer la deuxième période avant que Mohmadipiani ne soit appelé pour passivité. Akbudak obtient deux tours à partir de là pour mener 7-3. Un takedown tardif de Mohmadipiani mais Akbudak gagne 7-5 en 82kg. 

10:55 : Le médaillé de bronze des Championnats du monde, Yunus BASAR (TUR), ramène un point pour la Turquie. Il menait Mohammad Reza MOKHTARI (IRI) 2-0 à la pause mais Basar obtient le point de passivité dans la deuxième période. Mokhtari fuit la prise. L'arbitre ne l'annonce pas mais la Turquie conteste et le point est accordé à Basar. Le combat reprend en par terre d'où Basar marque un stepout. Un challenge de l'Iran qu'il perd. Basar gagne 6-2 pour mettre la Turquie sur le tableau.

10:45 : Seluk CAN (TUR) a une énorme responsabilité sur ses épaules. Il lutte contre Mohammadreza ROSTAMI (IRI) en 72kg avec l'espoir de faire tourner la situation pour son équipe. Mais Rostami mène 2-0 à la pause. Can se met en évidence par la passivité de Rostam dans la deuxième période. Mais il n'arrive pas à obtenir le tour. Rostami s'accroche pour une avance de 2-1 et la victoire. L'Iran a gagné 5 combats maintenant. Une victoire de plus la scellera.

10:35 : Luttant maintenant en 67kg, le champion du monde U20 et U23 pour l'Iran Seyed SOHRABI (IRI) contre Murat FIRAT (TUR). Sohrabi est l'un des talents les plus excitants du moment. Il commence par une vrille pour deux. Sohrabi frappe ensuite un quatre pour mener 6-0. La Turquie conteste l'appel mais les points sont maintenus. Sohrabi mène 7-0 avant qu'un stepout ne lui donne la victoire 8-0. Un autre combat dans lequel la Turquie ne marque pas de point. Cela pourrait leur nuire plus tard.

10:30 : Avec une avance de 2-0, l'Iran va chercher à conclure. Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) et Ahmet UYAR (TUR) luttent chez les 63kg et c'est Khoon Mohammadi qui marque quatre stepouts dans les deux premières minutes. Il obtient un takedown pour mener 6-0 avant de terminer le combat avant la pause avec un gut wrench. L'Iran mène 3-0.

10:15 : Kerem KAMAL (TUR) et Mehdi MOHSEN NEJAD (IRI) en 60kg dans un combat de revanche. Mohsen Nejad menait son combat contre Kamal aux Championnats du Monde de Belgrade avant que Kamal ne le cloue au sol. Ici à Bakou, Mohsen Nejad sort en attaquant du par terre et obtient le gut wrench avant que l'exposition ne lui en donne deux autres. Kamal conteste le deuxième appel. Défi perdu. Dans la deuxième période, Kamal réussit à obtenir un lift inversé pour deux pour faire 6-3. Mais il donne aussi deux points et c'est 8-3. Trois points de sortie pour Kamal mais il ne parvient pas à couvrir l'avance et perd 8-6.

10:10 : Ekrem OZTURK (TUR) et Poya DAD MARZ (IRI) est le premier combat de la Coupe du Monde en 55kg. Ozturk prend l'avantage avec un point de passivité. Il ne parvient pas à obtenir un tour en par terre. En deuxième période, Dad Marz prend l'avantage avec un point de passivité. Il ne parvient pas non plus à obtenir un tour en par terre. Dad Marz gagne 1-1 malgré la troisième passivité contre lui. Une victoire énorme pour l'Iran.

10:00 : Bienvenue à la première session de la Coupe du monde gréco-romaine ici au Baku Sports Hall. Nous avons une configuration à un tapis pour la Coupe du Monde. L'Iran et la Turquie s'affrontent maintenant.