Japon

À 56 ans d'intervalle, l'écrivain japonais Masayuki Miyazawa couvrira ses seconds Jeux Olympiques

By Ikuo Higuchi

(L'article qui suit est la version abrégée et traduite d'une histoire récemment parue sur le site de la Fédération japonaise de lutte)

Si couvrir les Jeux Olympiques peut être considéré comme un honneur dans la carrière d'un journaliste, les occasions ne sont pas si rares. Mais couvrir deux éditions des Jeux dans la même ville à 56 ans d'intervalle est une autre chose.

Écrivain de lutte, l'auteur Masayuki Miyazawa remplira ce tour de force dans moins d'une année à l'occasion des Jeux de Tokyo 2020, après avoir couvert l'édition de 1964 pour le quotidien sportif Nikkan Sports.

Depuis, Miyazawa est devenu un pilier de la scène de lutte japonaise, non seulement comme un reporter sans égal mais aussi en tant qu'éditeur, représentant officiel de la Fédération japonaise, entraîneur impromptu et non-conformiste.

"Je ne veux pas être simple spectateur, je veux faire mes reportages en scène," dit Miyazawa, depuis longtemps retraité du Nikkan Sports et qui souhaite, si sa santé le permet, être associé en tant qu'écrivain aux prochains Jeux de Tokyo. Il aura alors 90 ans.

Miyazawa est toujours conseiller pour la Fédération japonaise de lutte, sans oublier ses racines : bien qu'une place lui ait été réservée parmi les officiels de la Fédération pour la Coupe de l'Empereur, il rejoint toujours la section réservée à la presse pour s'asseoir parmi ses pairs. "Je suis un journalise, à vie," commente-t-il.

Miyazawa n'avait pas conscience que ce doublé tokyoïte lui donnait une place particulière dans l'histoire du journalisme jusqu'à ce qu'un collègue lui dise qu'il entrerait ainsi dans le Guiness Book.

Miyazawa est loué pour ses longues années de contribution envers la lutte par le Président de la Fédération japonaise de lutte (FJL) M. Tomiaki Fukuda lors de la célébration, en 2012, de la première médaille d'or olympique remportée par un lutteur (Tatsuhiro Yonemitsu) de l'Université Takushoku, là où Miyazawa fit ses études. (photo : Ikuo Higuchi)

La curiosité maladive de Miyazawa l'a amené à dévoiler quelques-uns des plus grands scoops sportifs de l'histoire du Japon.

Alors au Nikkan Sports, Miyazawa avait publié sur la retraite d'un des champions légendaires du sumo, Yokozuna Wakanohana I (l'épouse de Yokozuna avait appelé Miyazawa). Lors des Jeux d'Asie de 1962 de Jakarta en Indonésie, Miyazawa, qui avait étudié l'indonésien à l'Université Takushoku, avait obtenu un entretien exclusif avec le Président Sukarno, en pleine crise politique à ce moment.

Miyazawa officie en tant qu'arbitre, l'un de ses nombreux rôles, lors des GANEFO (Jeux des nouvelles forces émergentes) de Jakarta en 1963. Il y agit également comme juge et entraîneur de judo et journaliste (photo : avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa). 

Bien qu'il ait fait carrière principalement dans la lutte, il couvrait également d'autres sports, dont le judo, la gymnastique, le karate, le pentathlon et les Jeux Paralympiques, assez pour remplir de nombreux volumes.

Retrouver le médaillé perdu
L'une des plus grandes réussites de Miyazawa fut de retrouver un médaillé olympique japonais qui avait disparu sans laisser de trace. Miyazawa ne retrouva Katsutoshi Naito pas seulement sain et sauf au Brésil mais raconta une histoire fascinante dont peu de Japonais avaient connaissance.

L'histoire de la lutte japonaise remonte en quelque sorte à Naito, un judoka qui, dans les années 20, fit le rare et audacieux choix de traverser l'océan pour rejoindre l'Université de Penn. Il y rejoint l'équipe de lutte et, avant l'établissement de l'Association universitaire nationale d'athlétisme (NCAA), remporta le titre interuniversitaire de la côte est en 1924.

Les sentiments anti-immigrants étaient forts aux États-Unis à cette époque, et les Japonais établis aux USA n'en souffraient pas moins que les autres. Naito faisait donc profil bas, ce qui ne l'empêcha pas de trouver le succès. Un politicien japonais, espérant améliorer les relations entre les deux pays, fit en sorte que Naito puisse concourir aux Jeux Olympiques de Paris en 1924.

Katsutoshi Naito, à gauche, lutteur vedette de l'université d'État de Penn, vainqueur de la première médaille olympique de lutte pour le Japon - le bronze des Jeux de Paris en 1924. (Archives de la FJL)

Naito remporta la médaille de bronze de lutte libre, classe des 61kg, aux Jeux de Paris, la première médaille olympique du Japon en lutte et la troisième toutes disciplines confondues - après les deux médailles d'argent remportées en tennis par le Japon lors des Jeux d'Anvers de 1920.

Naito retourna au Japon après les Jeux et tenta d'introduire la lutte dans le pays. Mais il fut à l'époque impossible de faire face à l'emprise du judo, sport national du Japon. Naito, qui avait étudié l'horticulture aux États-Unis, partit alors pour le Brésil, où une large population japonaise immigrée s'était développée. Tout en établissant une entreprise d'horticulture, Naito introduisit le judo auprès de ses hôtes.

Ce n'est qu'en 1932 que la Fédération japonaise de lutte fut établie. Naito s'était effacé des mémoires et personne ne savait où il se trouvait.

Vers la fin des années 50, Miyazawa mit tous ses efforts dans la recherche de ce héros de la lutte japonaise. Par courrier postal, il obtint l'assurance que Naito vivait au Brésil. Miyazawa joua ensuite un rôle essentiel pour que Naito et son épouse assistent aux combats de lutte des Jeux de Tokyo de 1964, où il les rencontra pour la première fois.

Naito a pu éprouver de la fierté de constater comment la lutte s'était désormais implantée de façon durable au Japon et sa réussite, car le Japon obtint alors 5 médailles d'or.

C'est plus tard que Miyazawa s'attacha à la tâche de raconter l'histoire de Naito. Elle fut publiée en octobre 1987. "Je suis allé trois fois au Brésil et trois fois à l'Université de Penn," se souvient-il. Il fut accueilli aux USA par Hachiro Oishi, entraîneur de longue date de Nittany Lions.

En 1985, Miyazawa accompagne Tomiaki Fukuda, l'actuel président de la FJL, et Kazuko Oshima, la première lutteuse japonaise, pour faire un compte-rendu de la participation d'Oshima au premier tournoi international de lutte féminine de l'histoire, organisé à Clermond-Ferrand. Miyazawa a prolongé son séjour pour visiter les sites des JO de 1924 et se rapprocher de la route suivie par Naito à l'époque. Miyazawa est devenu incollable sur la vie de Naito : "Le 14 juillet, c'est là que Naito a remporté sa médaille de bronze."

Miyazawa, au milieu, pose au Brésil en 1990 avec Katsuhiro Naito, à gauche, le fils aîné de Katsutoshi Naito, et Tatsuo Oishi, le grand frère de l'entraîneur Hachiro Oishi, habitant São Paulo. Sur le mur, le diplôme reçu par Katsutoshi Naito pour sa médaille de bronze des JO de Paris en 1924. (photo avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa)

Pour la postérité
Pendant plus d'un quart de siècle, des JO de Tokyo en 1964 à mars 1990, Miyazawa fut l'éditeur du mensuel de la Fédération japonaise de lutte, tout d'abord appelé Lutte amateur du Japon, puis Mensuel de lutte et maintenant Lutte olympique. En 1964, la lutte n'était qu'un sport amateur strictement dépendant de l'aide financière du gouvernement et les moyens étaient limités. Miyazawa travaillait donc pro bono, en addition à son travail à temps plein.

Un président de la FJL insistait pour que la presse couvre tout, même les mauvaises nouvelles. La plupart des membres de la fédération considéraient cependant les relations avec les médias comme frivoles. "Dépenser de l'énergie en relations publiques n'amène pas de médaille d'or" constituait le refrain quotidien.

"Je ne me souviens pas avoir reçu quelque compensation que ce soit pour écrire, éditer, me déplacer ou tout autre dépense," dit Miyazawa, qui trouva également le temps d'être le directeur de l'équipe de lutte de son université pendant 10 ans, après que celle-ci fut reléguée en troisième division régionale. En 2012 Tatsuhiro Yonemitsu (lutte libre 66kg) devint le premier lutteur de l'université Takushoku médaillé d'or olympique.

Lors des débuts du magazine, il n'y avait ni fax ni email, et Miyazawa devait rencontrer l'imprimeur à la gare Shinjuku de Tokyo entre deux articles pour le Nikkan Sports. L'imprimeur lui rendait ensuite la première épreuve pour corrections. Les résultats des tournois étaient donc publiés avec trois ou quatre mois de retard.

Pourquoi insister ? Selon Miyazawa, il s'agissait de remplir la mission du journaliste : préserver l'histoire exacte d'une discipline qu'il vénérait pour les générations futures.

Un officiel de la fédération dit un jour à Miyazawa, "Si quelqu'un cherche des résultats, il n'a qu'à venir au bureau. Ne devrais-tu pas inclure plus d'histoires ?" La réponse était non pour Miyazawa. Il demeurait plus important de conserver les résultats pour la postérité. Ses soutiens, dont un officiel de la fédération, remarquait que s'il serait facile pour quelqu'un habitant Tokyo de passer au bureau, ce serait impossible pour les autres. "Beaucoup sont intéressés par les résultats. Voir les noms imprimés, parfois le sien, reste très motivant."

D'autres le loueront plus tard, en disant que les détails et résultats compilés par Miyazawa sont infiniment utiles pour établir des récompenses et avoir une vue d'ensemble.

Miyazawa a aussi révolutionné la terminologie de la lutte au Japon. Une "période" était un "tour" et des références telles que "poids mouche" remplaçaient le classement en kilogrammes. Il semble que cette terminologie de boxe était due aux journalistes couvrant les sports de contact. Miyazawa se détermina à aligner le Japon sur le reste du monde après avoir assisté à un tournoi international. "Lorsque j'ai mentionné les poids mouches, un lutteur européen n'avait aucune idée de quoi je parlais."

Comme la lutte fut importée des États-Unis, Miyazawa se demanda si là-bas des termes de boxe étaient aussi utilisés. L'entraîneur de l'Université Kokushikan et contributeur du site de la FJL William May, lutteur universitaire dans le Minnesota, lui répondit que non. Miyazawa, sans consulter personne, utilisa immédiatement la nouvelle terminologie. Personne n'eut à s'en plaindre.

Miyazawa pose avec la première lutteuse japonaise Kazuko Oshima, troisième à partir de la droite, après un combat de démonstration de lutte féminine à l'occasion de la Coupe des supers champions à Tokyo en 1985. (photo avec l'aimable autorisation de Masayuki Miyazawa)​

Toujours en course
Miyazawa a également soumis sa candidature pour être un porteur de la flamme olympique l'année prochaine. Il sait que s'il est sélectionné, il sera lui-même - cette fois - sujet d'attention médiatique.

Sa santé actuelle est cependant un plus grand sujet d'inquiétude. Opéré pour des calculs biliaires, on lui a découvert un cancer de la prostate, heureusement bénin. Selon son docteur, des injections d'hormones lui garantissent encore de 5 à 10 ans de vie, suffisamment pour assister aux JO de Tokyo.

Sa condition s'est récemment stabilisée. La vie d'un reporter était tout sauf saine. Horaires irréguliers, travail nocturne et célébrations entre collègues jusqu'au petit matin constituaient la norme, comme fumer en tapant à la machine. Même si Miyazawa n'a jamais été fumeur, il n'avait pas de temps à consacrer à l'exercice physique et ne donnait pas un sou de son régime.

À 62 ans, cinq années après la retraite et travaillant contractuellement pour Nikkan Sports, il a payé de sa poche pour assister aux JO de Barcelone en 1992. Voyant une photo de lui-même, il fut choqué de voir combien il avait grossi. On lui diagnostiqua à son retour au Japon le diabète.

Grâce aux médicaments, un régime sain et des exercices physiques, sa condition s'améliora rapidement. Une marche en piscine quotidienne le fit redescendre de 74 à 57kg, son poids de lutteur universitaire.

Miyazawa a couru deux tours de 400 mètres l'année passée lors d'un événement organisé par l'équipe nationale de lutte féminine, et terminé bon dernier ; mais les 200 mètres demandés pour la flamme olympique restent largement dans ses cordes.

Un autre obstacle pourrait être son accréditation. Obtenir une carte de presse en 64 était simple et il put alors écrire sur ce qu'il souhaitait. Le CIO a aujourd'hui rendu le processus bien plus sélectif.

Un ami de Miyazawa lui a proposé autre chose : "Après la double couverture des JO de Tokyo, pourquoi ne pas aller à Paris en 2024 et marquer les 100 ans de la victoire de la médaille de Naito ?"

"Mon docteur m'a donné 10 ans," a répliqué Miyazawa. "Je compte y être."

#WrestleBaku

Coupe du monde gréco-romaine : L'Azerbaïdjan contre l'Iran pour le titre

By Vinay Siwach

BAKU, Azerbaïdjan (5 novembre) -- La Coupe du monde gréco-romaine à Baku a débuté avec la Turquie et l'Iran. Une bataille serrée s'est terminée avec la victoire de l'Iran, suivie d'une victoire sur le Kirghizstan pour obtenir une place en finale. Dans le Groupe A, l'Azerbaïdjan et l'équipe All-World se sont affrontés et ont terminé par 5 victoires chacun.  Au classement, l'Azerbaïdjan a battu l'équipe All-World 22 à 20. La Turquie et le Kirghizstan ont lutté pour une place dans le match de la 3/4ème place contre l'équipe All-World. La Turquie a battu le Kirghizstan 7-3.

Azerbaïdjan affrontera l'Iran pour le titre de la Coupe du monde tandis que la Turquie et l'équipe All-World s'affronteront pour la troisième place. L'action commencera à 17:00 heure locale à Baku.

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22:25 : Le dernier combat de la journée et le champion du monde U23 Fatih BOZKURT (TUR) épingle Erlan MANATBEKOV (KGZ) en 130kg pour donner à la Turquie une victoire 7-3 dans le duel.

22:20 : Metehan BASAR (TUR) l'a fait pour la Turquie. Sa victoire sur U. DZHUZUPBEKOV (KGZ) est la sixième du duel pour la Turquie qui affrontera l'équipe All-World pour le bronze.

22:05 : Drame tardif dans le combat des 87kg entre A. AZISBEKOV (KGZ) et Ali CENGIZ (TUR). Azisbekov menait 1-1 sur critères quand il a essayé de projeter Cengiz. A la fin de la mêlée, Azisbekov mène 3-3. La Turquie conteste l'appel et il semble que Cengiz a commis une faute de jambe. Le score est 4-1 et Azisbekov gagnera le combat avec ce score. Le Kirghizstan mène 5-3 avec deux combats restant.

21:52 : Le champion du monde Burhan AKBUDAK (TUR) avec deux énormes projections remporte une victoire par supériorité technique 9-0 sur Kalidin ASYKEEV (KGZ). Maintenant la Turquie a besoin d'une seule victoire pour être qualifiée pour le match de la médaille de bronze contre l'équipe All-World.

21:45 : Akylbek TALANTBEKOV (KGZ) a réussi à revenir sur Yuksel SARICICEK (TUR) en seconde période mais il s'incline 5-5 sur critères et la Turquie mène désormais 4-2. Deux victoires de plus pour eux pour confirmer la place dans le combat pour la médaille de bronze.

21:35 : Le Kirghizstan avait besoin de cette victoire mais Selcuk CAN (TUR) s'oppose à Adilkhan NURLANBEKOV (KGZ) en 72kg avec une victoire 5-3 et la Turquie mène désormais le combat 3-2.

21:22 : Murat FIRAT (TUR) s'impose pour la Turquie. Il bat IBRAGIMOV Khalmurat (KGZ) 6-1 en 67kg et la Turquie égalise le duel 2-2 contre le Kirghizstan. 

21:10 : Ahmet UYAR (TUR) ramène une victoire en battant Kaly SULAIMANOV (KGZ) 5-1 en 63kg. La Turquie a maintenant un victoire contre deux pour le Kirghizstan. 

21:00 : Une avance 2-0 maintenant pour le Kirghizstan. Nurmukhammet ABDULLAEV (KGZ) bat Mukremin AKTAS (TUR) 6-1 et poursuit le bon départ pour le Kirggizstan. Les deux nations s'affrontent pour une place pour le combat de la médaille de bronze contre l'équipe All-World.

20:50 : Quel spectacle de la part de Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ) qui fait rouler Ekrem OZTURK (TUR) pour un quatre point avant d'obtenir un gut pour faire 6-0. Un takedown lui donne la victoire 8-0.

20:40 : Maintenant pour le dernier match de la session. La Turquie affronte le Kirghizistan pour une place dans le match pour la médaille de bronze contre All-World. Nous commençons paEV (AZE) 5-2 et maintenant l'équipe All-World a une chance de gagner. En 130kg, Mantas KNYSTAUTAS (UWW) doit épingler Sabah SHARIATI (AZE).r les 55kg avec Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ) contre Ekrem OZTURK (TUR).

Le match aurait pu tourner en faveur de l'équipe All-World si Joni KHETSURIANI (UWW) avait marqué un point contre Hasrat JAFAROV (AZE). Un cas de si et de mais, mais finalement c'est l'Azerbaïdjan qui se qualifie pour la finale.

20:30 : Mantas KNYSTAUTAS (UWW) obtient la victoire 5-1 sur Sabah SHARIATI (AZE) mais il ne parvient pas à l'épingler. Cela signifie que l'Azerbaïdjan se qualifiera pour la finale sur la base des points de classement. Les deux équipes ont eu cinq victoires mais l'Azerbaïdjan a 22 points de classement contre 20 pour l'équipe All-World.

20:15 : Nikoloz KAKHELASHVILI (UWW) ajoute du drame à ce duel. Il bat Arif NIFTULLAY

20:07 : L'équipe All-World peut-elle faire un retour ? Alex KESSIDIS (UWW) bat Murad AHMADIYEV (AZE) 3-2 pour porter le score à 5-3. L'équipe All-World doit gagner les deux combats restants par supériorité technique ou par chute. 

20:00 : Dans une revanche des Championnats du Monde, Jalgasbay BERDIMURATOV (UWW) lutte contre Rafig HUSEYNOV (AZE) en 82kg. Berdimuratov abandonne le premier par terre mais s'en sort rapidement. Berdimuratov prend l'avantage dans la deuxième période. Huseynov parvient à obtenir un lift et une projection mais elle n'est pas comptabilisée. L'Azerbaïdjan conteste et la vérification confirme un contact à trois points et deux points pour Huseynov. Berdimuratov obtient un takedown mais Huseynov conteste à nouveau un leg four par Berdimuratov. Huseynov gagne 3-1. L'Azerbaïdjan mène maintenant 5-2.

19:42 : Sanan SULEYMANOV (AZE) avec une victoire très importante en 77kg sur Zoltan LEVAI (HUN). Les deux se sont échangés des passivités mais Suleymanov a obtenu le tour. Levai a tenté une projection désespérée à la fin mais Suleymanov l'a retourné dans ses propres attaques et a marqué 5 points par suplex.

19:30 : Le médaillé de bronze des championnats du monde Andrii KULYK (UWW) et le médaillé d'argent Ulvi GANIZADE (AZE) en 72kg maintenant. Ganizade obtient le premier avantage mais alors qu'il tente de soulever et de projeter Kulyk, il est plaqué au sol par Kulyk qui mène 2-1. Dans la deuxième période, Kulyk prend l'avantage mais ne parvient pas à se retourner. Mais un Ganizade fatigué se précipite pour un takedown mais ne parvient pas à contrôler et abandonne un takedown et un tour. Kulyk gagne 7-1 pour revenir dans l'équipe All-World.

19:23 : L'Azerbaïdjan a fait un grand pas vers la finale avec Hasrat JAFAROV (AZE) qui a battu Joni KHETSURIANI (UWW) 5-0 chez les 67kg. Cette victoire porte le score à 3-1 pour l'Azerbaïdjan. Le fait que Khetsuriani n'ait pas marqué de point nuit également aux chances de l'équipe All-World.

19:10 : Leri ABULADZE (UWW) et Taleh MAMMADOV (AZE) luttent maintenant en 63kg. Abuladze obtient le premier point pour  passivité de Mammadov. Mais il n'arrive pas à obtenir de tour. Mammadov obtient le point dans la deuxième période. Il mène 1-1 sur critères. Une troisième passivité du combat et va contre Mammadov. Abuladze ne peut toujours pas prendre l'avantage. Il a un peu plus d'une minute pour briser le critère de 1-1. Mammadov tient bon pour une victoire de 1-1.

19:00 : Une chute pour Aidos SULTANGALI (UWW) sur Murad MAMMADOV (AZE) chez les 60kg ! Une victoire cruciale pour l'équipe All-World car la chute leur donne cinq points de classement. En cas d'égalité 5-5, cette victoire peut s'avérer décisive.

18:50 : Cela ne se produit pas pour Nugzari TSURTSUMIA (UWW). Il se couche une nouvelle fois contre Eldaniz AZIZLI (AZE). Une passivité pour Azizli et il obtient ensuite un turgut wrenchn à deux points avant un jet pour quatre points. Un gut wrench pour terminer le combat 9-0.

18:45 : L'heure est venue pour l'Azerbaïdjan contre All-World. Le premier combat en 55kg est celui d'Eldaniz AZIZLI (AZE) contre Nugzari TSURTSUMIA (UWW).

18:42 : Une énorme victoire pour Aliakbar YOUSOFI (IRI). Il épingle Erlan MANATBEKOV (KGZ) en 130kg pour compléter la déroute 8-2 du Kirghizistan.

18:35 : C'était un suspense. Mehdi BALIHAMZEHDEH (IRI) menait Uzur DZHUZUPBEKOV (KGZ) 3-1 jusqu'à la dernière minute mais Balihamzehdeh réussit à marquer un takedown pour une victoire 3-3.

18:22 : En 87kg, Abolfazl CHOUBANI (IRI) et A. AZISBEKOV (KGZ) sont engagés dans un combat. Azisbekov prend l'avantage 1-0 pour un par terre et ensuite une exposition pour faire 3-0. Le Kirghizistan conteste pour une faute de jambe mais c'est propre. Choubani marque un point pour passivité mais Azisbekov obtient un quatre points et ensuite un takedown pour gagner 9-2.

18:10 : La première défaite pour l'Iran dans ce match. Kalidin ASYKEEV (KGZ) obtient un lift inversé pour deux points de par terre contre Mohammadhossein MAHMOODI (IRI) à 82kg. L'Iran conteste la décision mais le renvoi montre qu'il s'agit en fait de quatre points. Asykeev gagne 6-1.

18:00 : Mohammad Reza MOKHTARI (IRI) avec une victoire 7-1 sur Akylbek TALANTBEKOV (KGZ) en 77kg. Un quatre-points dans cette victoire car Mokhtari a produit une rotation complète dans cette projection.

17:50 : Amir ABDI (IRI) confirme la place en finale pour l'Iran. Il bat Adilkhan NURLANBEKOV (KGZ) en 72kg et avec cela, l'Iran va essayer de gagner le titre dimanche.

17:37 : Seyed SOHRABI (IRI) est inarrêtable ici à Bakou. Il force la première passivité du combat contre Khalmurat IBRAGIMOV (KGZ) et obtient ensuite trois tours pour mener 7-0. Ibragimov l'attrape dans le tour pendant le quatrième tour pour obtenir deux points au tableau et cherche un pin mais la tête de Sohrabi était en dehors de la zone. Le Kirghizistan a contesté cette décision mais a perdu. Un lock pour un takedown confirme une victoire 10-2 pour Sohrabi.

17:30 : Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) et Kaly SULAIMANOV (KGZ) luttent en 63kg. Khoon Mohamadi utilise l'arm drag à la perfection. Il marque un mouvement à quatre points avant d'ajouter de nombreux stepouts. Sulaimanov tente un quatre désespéré mais échoue. Khoon Mohammadi gagne 12-1.

17:22 : Mehdi MOHSEN NEJAD (IRI) avec une victoire nette 5-0 sur Nurmukhammet ABDULLAEV (KGZ) et l'Iran mène 2-0. Cette victoire relâche la pression sur les lutteurs à venir car l'Iran a besoin d'une victoire supplémentaire pour écarter toute possibilité que la Turquie ou le Kirghizistan prennent sa place.

17:10 : L'Iran n'engage pas son équipe de réserve. Poya DAD MARZ (IRI) sortira pour le combat des 55kg contre Taalaibek BEISHENBEK UULU (KGZ). Dad Marz est appelé pour passivité dans la première période mais il se défend bien du par terre. Dad Marz marque un stepout pour faire 1-1 à la pause. Beishenbek Uulu ne peut pas défendre les tentatives de par terre de Dad Marz dans la deuxième période et abandonne quatre points. Un avertissement et deux points contre Beishenbek Uulu avant un stepout confirment la victoire 9-1 du lutteur iranien.

1700 : Bienvenue à la séance du soir de la Coupe du monde gréco-romaine. L'Iran et le Kirghizistan luttent. Ce dernier espère surprendre l'Iran et espère se qualifier pour la finale.

Fin d'une première session divertissante dans laquelle l'Iran a réussi à prendre le dessus sur la Turquie. Une victoire 6-4 a donné à l'Iran un avantage énorme et a pratiquement placé l'équipe en finale. La deuxième session commence à 17h00 heure locale.

L'Iran affronte le Kirghizstan avant que l'Azerbaïdjan ne reçoive l'équipe All-World. Le dernier match de la session du soir sera Turquie contre Kirghizstan.

11:50 : Osman YILDIRIM (TUR) et Aliakbar YOUSOFI (IRI) sont maintenant sur le tapis pour leur combat en 130kg. Yildirim mène 1-0 pour passivité et un tour fait 3-0. Mais Yousofi marque trois stepouts et un point contre Yildirim donne l'avantage 4-3 à Yousofi. Yildirim, aussi calme qu'il est, marque un takedown sur le bord et reprend l'avantage. Un point pour Yousofi pour la passivité de Yildirim mais le lutteur turc mène 5-5 sur critères et cela restera le score puisque Yousofi subit une défaite serrée.

11:40 : C'est simple pour la Turquie : Metehan BASAR (TUR) ne peut pas se permettre de perdre. Mehdi BALIHAMZEHDEH (IRI) a construit une avance de 4-0 mais Basar reçoit deux points pour avertissement. Basar a une minute pour marquer deux points et gagner. Mais Balihamzehdeh le tient à distance et gagne 4-2 et cette victoire confirme la victoire de l'Iran dans ce match.

11:32 : Quelques défis ont fait que le combat des 87kg entre Ali CENGIZ (TUR) et Hamidreza BADKAN (IRI) semblait interminable. Mais pour ce que ça vaut, Cengiz gagne le combat 11-2 et garde la Turquie dans la course. Cengiz renverse la position de par terre et obtient trois expositions ainsi qu'une faute de Badkan pour mener 8-2 à la fin de la séquence. Il gagne 11-2 dans la deuxième période.

11:10 : Le champion du monde Burhan AKBUDAK (TUR) gagne le deuxième pour la Turquie. Il était mené 3-0 à la pause, Alireza MOHMADIPIANI (IRI) ayant obtenu le premier point et le tour. Mais Akbudak marque un takedown pour commencer la deuxième période avant que Mohmadipiani ne soit appelé pour passivité. Akbudak obtient deux tours à partir de là pour mener 7-3. Un takedown tardif de Mohmadipiani mais Akbudak gagne 7-5 en 82kg. 

10:55 : Le médaillé de bronze des Championnats du monde, Yunus BASAR (TUR), ramène un point pour la Turquie. Il menait Mohammad Reza MOKHTARI (IRI) 2-0 à la pause mais Basar obtient le point de passivité dans la deuxième période. Mokhtari fuit la prise. L'arbitre ne l'annonce pas mais la Turquie conteste et le point est accordé à Basar. Le combat reprend en par terre d'où Basar marque un stepout. Un challenge de l'Iran qu'il perd. Basar gagne 6-2 pour mettre la Turquie sur le tableau.

10:45 : Seluk CAN (TUR) a une énorme responsabilité sur ses épaules. Il lutte contre Mohammadreza ROSTAMI (IRI) en 72kg avec l'espoir de faire tourner la situation pour son équipe. Mais Rostami mène 2-0 à la pause. Can se met en évidence par la passivité de Rostam dans la deuxième période. Mais il n'arrive pas à obtenir le tour. Rostami s'accroche pour une avance de 2-1 et la victoire. L'Iran a gagné 5 combats maintenant. Une victoire de plus la scellera.

10:35 : Luttant maintenant en 67kg, le champion du monde U20 et U23 pour l'Iran Seyed SOHRABI (IRI) contre Murat FIRAT (TUR). Sohrabi est l'un des talents les plus excitants du moment. Il commence par une vrille pour deux. Sohrabi frappe ensuite un quatre pour mener 6-0. La Turquie conteste l'appel mais les points sont maintenus. Sohrabi mène 7-0 avant qu'un stepout ne lui donne la victoire 8-0. Un autre combat dans lequel la Turquie ne marque pas de point. Cela pourrait leur nuire plus tard.

10:30 : Avec une avance de 2-0, l'Iran va chercher à conclure. Iman Khoon MOHAMMADI (IRI) et Ahmet UYAR (TUR) luttent chez les 63kg et c'est Khoon Mohammadi qui marque quatre stepouts dans les deux premières minutes. Il obtient un takedown pour mener 6-0 avant de terminer le combat avant la pause avec un gut wrench. L'Iran mène 3-0.

10:15 : Kerem KAMAL (TUR) et Mehdi MOHSEN NEJAD (IRI) en 60kg dans un combat de revanche. Mohsen Nejad menait son combat contre Kamal aux Championnats du Monde de Belgrade avant que Kamal ne le cloue au sol. Ici à Bakou, Mohsen Nejad sort en attaquant du par terre et obtient le gut wrench avant que l'exposition ne lui en donne deux autres. Kamal conteste le deuxième appel. Défi perdu. Dans la deuxième période, Kamal réussit à obtenir un lift inversé pour deux pour faire 6-3. Mais il donne aussi deux points et c'est 8-3. Trois points de sortie pour Kamal mais il ne parvient pas à couvrir l'avance et perd 8-6.

10:10 : Ekrem OZTURK (TUR) et Poya DAD MARZ (IRI) est le premier combat de la Coupe du Monde en 55kg. Ozturk prend l'avantage avec un point de passivité. Il ne parvient pas à obtenir un tour en par terre. En deuxième période, Dad Marz prend l'avantage avec un point de passivité. Il ne parvient pas non plus à obtenir un tour en par terre. Dad Marz gagne 1-1 malgré la troisième passivité contre lui. Une victoire énorme pour l'Iran.

10:00 : Bienvenue à la première session de la Coupe du monde gréco-romaine ici au Baku Sports Hall. Nous avons une configuration à un tapis pour la Coupe du Monde. L'Iran et la Turquie s'affrontent maintenant.