L'Hebdo !

L'Hebdo du 12 novembre !

By Eric Olanowski

En revue, les équipes en course à la Coupe du Monde de lutte féminine, les athlètes et les catégories de poids à surveiller, et la Coupe du Monde de lutte gréco-romaine en Iran du 28 au 29 novembre.

1. La route des finales 
Depuis la naissance de la Coupe du Monde de lutte féminine il y a 18 ans, les équipes du Japon, de la Chine et des USA sont les seuIes à s'être emparées du trophée de cette compétition annuelle opposant les équipes invitées. Mais depuis 2003, année de la seule victoire des États-Unis, le Japon et la Chine exercent une domination certaine sur la lutte féminine et se sont partagés les 14 dernières éditions. 

Le Japon et la Chine se sont affrontés en finale des deux dernières éditions et par deux fois le Japon est sorti victorieux. Cette année cependant, les choses seront différentes car les deux pays se rencontreront samedi soir en combats de Groupe A pour une place potentielle en finale. Il leur faudra cependant prendre le dessus sur une  équipe ukrainienne plutôt jeune et inexpérimentée - mais qui a promis de faire vaciller l'ordre établi pour leur possible première apparition en finale depuis 2005. 

La Fédération russe, deuxième cette année des championnats du monde, tient le haut de l'affiche du Groupe B, une affiche partagée avec les USA et la Mongolie, respectivement troisièmes et septième à Noursoultan.

Si la Mongolie affiche deux médaillées mondiales de bronze, il se peut qu'elle manque de puissance de feu pour tenir à distance la Russie et les États-Unis - équipes qui chacune affichent au moins une championne du monde.

Les premiers affrontements des équipes russes et américaines sont programmés pour samedi après-midi et amèneront sur les tapis quatre des dix championnes du monde inscrites à la compétition.

Inna TRAZHUKOVA (RUS), championne du monde cette année en 62kg, mène la Fédération russe, tandis que Jacarra WINCHESTER, Tamyra MENSAH et Adeline GRAY combattront sous la bannière étoilée.

Après les combats de groupe, les deux équipes aux meilleurs résultats se retrouveront en finale dimanche, les deux suivantes se disputeront les troisième et quatrième places, puis les équipes restantes monteront sur les tapis pour les dernières places.

Titres de Coupe du Monde de lutte féminine
Japon : 10 
Chine : 6
États-Unis : 1

PROGRAMME
Samedi 16 novembre 
10:30 – Tapis A : JPN vs. UKR / Tapis B : RUS vs. MGL 
12:00 – Tapis A : RUS vs. USA / Tapis B : CHN vs. UKR 
16:30 – Cérémonie d'ouverture 
17:00 – Tapis A : JPN vs. CHN / Tapis B : USA vs. MGL

Dimanche 17 novembre 
08:00 – Examen médical & pesée
10:30 – Finales 5/6
13:00 – Finales 3/4
14:30 – Finales 1/2
16:00 – Remise des prix

Jacarra WINCHESTER (USA), l'une des cinq championnes du monde en lice pour la Coupe du Monde de lutte féminine ce weekend. (Photo : Kadir Caliskan)

2. Athlètes à surveiller : les cinq championnes du monde
Cinq des six équipes de la Coupe du Monde affichent au moins deux championnes du monde en titre, pour un total de 17 lutteuses montées sur le podium des championnats du monde cette année ; l'Ukraine est la seule équipe inscrite sans médaillée mondiale 2019. Les cinq tenantes du titre à observer de près :

55kg - Jacarra WINCHESTER (USA)
57kg - Risako KAWAI (USA)
62kg - Inna TRAZHUKOVA (RUS)
68kg - Tamyra MENSAH (USA)
76kg - Adeline GRAY (USA)

Risako KAWAI (JPN) et Ningning RONG (CHN) se sont affrontées en finale des mondiaux le mois dernier, catégorie des 57kg. Remake possible ce weekend à l'occasion de la Coupe du Monde de lutte féminine. (Photo : Gabor Martin)

3. Catégories de poids à surveiller : 57 et 76kg 
Les deux catégories de poids à ne pas manquer ce weekend sont celles des 57 et des 76kg, chacune affichant sa championne du monde en titre et la vaincue de la finale des mondiaux. Il est donc possible que nous voyions deux remakes des finales de Noursoultan !

Risako KAWAI (JPN) et Ningning RONG (CHN), les deux finalistes de Noursoultan en 57kg, pourraient s'affronter samedi soir lorsque le Japon sera face à la Chine, à 17 heures.

Kawai est regardée comme la meilleure lutteuse du monde et a, depuis son titre olympique (Rio 2016), remporté trois titres mondiaux consécutifs. Son adversaire potentielle, la Chinoise Ningning Rong, est championne du monde 2018 et médaillée d'argent 2019. La star fortement émotionnelle a atteint les deux dernières finales des mondiaux, a remporté un titre continental et au moins trois tournois depuis.

Deux autres lutteuses seront cependant des obstacles à surmonter pour Kawai et Rong : ALTANTSETSEG Battsetseg (MGL) et Olena KREMZER (UKR). La Mongole de 25 ans est médaillée d'argent des mondiaux U23 de 2017, l'Ukrainienne médaillée de bronze de l'édition 2018.

En 76kg, la catégorie 'poids lourd' de la lutte féminine, les deux meilleures lutteuses Adeline Gray et Hiroe MINAGAWA (JPN) pourraient se retrouver dans le remake de la finale de septembre, mais tout dépend de la phase de groupe. De plus, Ekaterina BUKINA (RUS), médaillée olympique de bronze à Rio en 2016, et ZHOU Qian (CHN), médaillée mondiale d'argent en 2015, sont aussi inscrites en 76kg.

Abuiazid MANTSIGOV (RUS), champion du monde en titre, est en tête de l'équipe russe de la Coupe du Monde de lutte gréco-romaine de Téhéran. (Photo: Gabor Martin)

4. L'Iran accueille la Coupe du Monde de lutte gréco-romaine les 28 et 29 novembre prochain 
L'Iran se prépare à accueillir la Coupe du Monde de lutte gréco-romaine pour la septième fois consécutive. La compétition, d'une durée de deux jours, ouvre ses portes jeudi 28 novembre au Stade Azadi de Téhéran et affiche six équipes. C'est la première fois depuis 2008 que la Coupe du Monde accueille moins de huit équipes.

L'équipe russe, tenante du titre, veut être la première à soulever le trophée deux fois d'affilée depuis le doublé de l'Iran en 2011 et 2012. Pour leur possible huitième titre en tout, les Russes comptent beaucoup sur le champion du monde en titre de la catégorie des 72kg Abuiazid MANTSIGOV (RUS). 

En renfort, Aleksandr CHEKHIRKIN, Stepan MARYANYAN et Sergey SEMENOV feront partie de l'équipe russe ; tous trois sont champions du monde 2018 mais Maryanan, médaillé d'argent cette année, est le seul médaillé mondial à remettre son prix en jeu.

Hors la division russe, six autres tenants du titre seront à Téhéran.

Fortement attendu, un potentiel remake de la finale des Jeux Olympiques de Rio se profile à l'horizon entre Ismael BORRERO MOLINA (CUB) et Shinobu OTA (JPN) en 67kg. 

Borrero et Ota ont chacun décroché une médaille d'or à Noursoultan, mais le Japonais commencera à Téhéran son ascension dans la catégorie olympique des 67kg - dont Borrero détient le titre. Il avait remporté à Noursoultan la finale des 63kg, une catégorie non olympique. Ota avait annoncé ce changement juste après l'obtention de son titre le mois dernier, avec pour objectif d'améliorer son résultat de Rio 2016, où il avait concédé en finale la défaite face à ce même Borrero et avait dû se contenter de la médaille d'argent.

Borrero, Mantsigov et Ota ; trois autres champions du monde seront sur les tapis de la Coupe du Monde de lutte gréco-romaine : Nugzari TSURTSUMIA (GEO), Kenichiro FUMITA (JPN) et Lasha GOBADZE (GEO). 

Champions du Monde inscrits
55kg - Nugzari TSURTSUMIA (GEO)
60kg - Kenichiro FUMITA (JPN) 
67kg - Ismael BORRERO MOLINA (CUB)
67kg - Shinobu OTA (JPN)
72kg - Abuiazid MANTSIGOV (RUS)
82kg - Lasha GOBADZE (GEO)

Le double champion du monde et champion olympique Kyle SNYDER (USA) est en tête d'affiche du Bill Farrell. (Photo : Kadir Caliskan)

5. Bill Farrell en live sur FloWrestling.org 
Le Club d'Athlétisme de New York accueillera les qualifications de l'équipe olympique des USA lors du Tournoi Bill Farrell les 16 et 17 novembre prochain. Le meilleur athlète des six catégories olympiques de lutte libre, lutte gréco-romaine et lutte féminine assurera sa place pour les sélections de l'équipe olympique en avril 2020. 

Nos collègues de Flowrestling.org détiennent les droits de diffusion et ont publié une liste des participants attendus. 

L'Hebdo dans les réseaux !

1. Big Move Monday -- Khoroshavtseva O. (RUS) -- Mondiaux Seniors 2019
2. ‪Iszmail MUSZHKAJEV ??: Championnat du Monde, extraits
3. Hassan YAZDANI ?? Championnat du Monde, extraits
4. En coulisse : Sadulaev et 97kg à #WrestleNurSultan
5. Kazakhstan ?? fait le spectacle aux mondiaux de #WrestleNurSultan — hors tapis aussi !

L'Hebdo !

L'Hebdo du 8 octobre !

By Eric Olanowski

En revue, la montée du champion du monde Ota de 63 à 67kg pour se lancer dans la course olympique, l'élue japonaise pour le Qualificatif Olympique Asie 50kg à déterminer lors de la Coupe de l'Empereur, le Test Event de Tokyo 2020 le weekend dernier, les nouvelles installations d'entraînement de l'Urugay et le Championnat du Monde Vétérans qui débute cette semaine. 

1. Le champion du monde Ota passe en 67kg pour la course olympique
Shinobu OTA (JPN) n'est pas un nouveau venu aux Jeux Olympiques. L'électrique athlète avait échoué en finale des Jeux Olympiques de Rio et avait dû se contenter de la médaille d'argent. Depuis lors, Ota a deux fois représenté le Japon aux championnats du monde, et s'est récemment paré de l'or de Noursoultan au Kazakhstan. 

Pour qu'Ota représente le Japon - à domicile - aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2020, il devra passer de la classe dans laquelle il vient de devenir champion du monde, celle des 63kg, à celle des 67kg. Il était supposé descendre en 60kg pour y défier Kenichiro FUMITA (JPN), mais Fumita, champion du monde senior en 2017, des U23 en 2018 et senior de nouveau cette année à Noursoultan en 60kg, s'est garanti la qualification en sélection olympique en ne laissant que des ruines sur le chemin de son troisième titre mondial.

Autre lutteur japonais, Shogo TAKAHASHI, vaincu par Fredrik BJERREHUUS (DEN) au deuxième tour de Noursoultan, n'a pu obtenir la qualification olympique japonaise en 67kg, forçant le Japon à miser sur le Qualificatif Olympique Asie de Xi'an, en Chine fin mars prochain, pour obtenir une place en 67kg.

Pour que Fumita ou Takahashi sécurise une place pour le Japon à Xi'an, ils devront se défaire d'une féroce compétition ; le double champion du monde coréen RYU Hansu sera toutes griffes dehors après avoir échoué à Noursoultan. 

Enfin, la rumeur court que le quadruple médaillé mondial kazakh Almat KEBISPAYEV, médaillé de bronze cet année en 63kg, fera également le saut en 67kg pour le Qualificatif Olympique d'Asie.

Au moins trois multiples médaillés mondiaux seront donc en lice pour deux des places à prendre en 67kg au qualificatif Asie ; beau spectacle en perspective.

2. L'élue japonaise pour le Qualificatif Olympique Asie 50kg déterminée lors de la Coupe de l'Empereur
Juste après avoir remporté son second titre senior consécutif de la saison l'année passée à Budapest, Yui SUSAKI (JPN) était regardée comme l'une des lutteuses les plus efficaces de tous les temps, inscrivant un parfait 9-0 lors de ses deux premiers championnats du monde, un score comprenant, sur la route de ses deux titres mondiaux, pas moins de sept victoires par supériorité technique et une par tombé.

Mais la sextuple championne du monde (trois titres cadets, deux juniors et deux seniors) s'est vue infliger une étourdissante défaite par sa compatriote Yuki IRIE (JPN) - qui l'avait empêchée d'être sélectionnée pour l'équipe japonaise des mondiaux. Susaki était à un fil de définitivement passer à côté des Jeux de Tokyo, mais sa rivale a été, heureusement pour Susaki, vaincue par SUN Yanan (CHN) en quart de finale à Noursoultan, cette dernière elle-même ensuite vaincue en demi-finale par la future championne Mariya STADNIK (AZE). La porte de la sélection olympique japonaise s'est donc miraculeusement rouverte pour Susaki.

L'attention du Japon se reporte donc, en 50kg, sur la Coupe de l'Empereur, prévue du 19 au 22 décembre prochain. La catégorie de poids des 50kg verra Irie, Susaki et la championne olympique de Rio Erie TOSAKA (JPN) s'y affronter pour l'unique billet à prendre pour le Qualificatif Olympique Asie de Xi'an en Chine, où le Japon sécurisera - ou non - sa place pour Tokyo 2020.

Yumeka TANABE (JPN) est l'une des trois lutteuses japonaises médaillées d'or au Test Event de Tokyo 2020 le weekend dernier. (Photo : Sachiko Hotaka)

3. Rivaux éternels, le Japon et la Chine se partagent deux finales en clôture du Test Event de Tokyo 2020
Le Japon, qui accueillait la compétition, et sa rivale la Chine, ont chacun emporté l'une des deux finales dans lesquelles ils s'affrontaient en clôture du Test Event de Tokyo 2020. Trois médailles d'or de lutte féminine étaient encore en jeu au troisième et dernier jour de la compétition tenue au Makuhari Messe de la ville de Chiba. 

LEI Chun (CHN) a tout d'abord vaincu la jeune Miu SHIMIZU (JPN) 5-2 en finale des 50kg, avant que la championne du monde junior 2018 Umi IMAI (JPN) ne remette les pendules à l'heure en se défaisant de justesse de LUO Lannuan (CHN) par 3-2 en finale des 53kg gold.

Dans la finale - toute japonaise - des 57kg, Yumeka TANABE (JPN) inscrit des points décisifs grâce à un challenge tardif et prend le dessus 6-4 sur Sena NAGAMOTO (JPN).

Dans une salle vide de spectateurs et juste la disposition des tapis permettant de se faire une idée de ce que le lieu de compétition offrira lors des Jeux de Tokyo, le tournoi aura principalement servi à tester le nouveau système intégré de décompte de points et à donner aux volontaires et au personnel un aperçu de la teneur des combats.

Vous trouverez ici (en anglais) les chroniques quotidiennes de Ken Marantz :
Preview
Day One Wrap
Day Two Wrap 
Day Three Wrap

LUTTE FÉMININE - RÉSULTATS
50kg (8 entrées)
Or – LEI Chun (CHN) df. Miu SHIMIZU (JPN), 5-2
Bronze – Remina YOSHIMOTO (JPN) df. Daria LEKSINA (RUS) par Tombé à 4:10 (10-4) 
Bronze – Mariia VYNNYK (UKR) df. Chihiro SAWADA (JPN), 4-4

53kg (9 entrées)
Or – Umi IMAI (JPN) df. LUO Lannuan (CHN), 3-2
Bronze – Saki IGARASHI (JPN) df. PANG Qianyu (CHN) par D. 
Bronze – Ibuki TAMURA (JPN) df. Katherine SHAI (USA), 7-3

57kg (8 entrées)
Or – Yumeka TANABE (JPN) df. Sena NAGAMOTO (JPN) 6-4 
Bronze – ZHANG Qi (CHN) df. RONG Ningning (CHN) par D. 
Bronze – Hanako SAWA (JPN) df. Khadizhat MURTUZALIEVA (RUS), 3-2

62kg (8 entrées)
Or – Yui SAKANO (JPN) df. Atena KODAMA (JPN), 2-1
Bronze – LUO Xiaojuan (CHN) df. PEI Xingru (CHN) par D.
Bronze – Ilona PROKOPEVNIUK (UKR) df. Anna SHCHERBAKOVA (RUS) par ST 10-0, 4:04

68kg (8 entrées)
Or – WANG Xiaoqian (CHN) df. Naruha MATSUYUKI (JPN), 2-1 
Bronze – Alina RUDNYTSKA (UKR) df. Alexandra GLAUDE (USA), 4-3
Bronze –Rin MIYAJI (JPN) df. Alena STARODUBTSEVA (RUS), 9-6

76kg (9 entrées)
Or – Paliha PALIHA (CHN) df. ZHOU Qian (CHN) by Def.
Bronze – Romana VOVCHAK (UKR) df. Mizuki NAGASHIMA (JPN) par Tombé à 3:19 (3-0)
Bronze – Justina DI STASIO (CAN) df. Yasuha MATSUYUKI (JPN), 3-0

4. L'Uruguay s'installe au Centre National d'Entraînement des Sports de Combats
Depuis plusieurs années, la Fédération Urugayenne de Lutte peinait à trouver un lieu d'entraînement qui lui permettrait de développer proprement la lutte. Régulièrement déplacée de bâtiment en bâtiment dans la capitale, l'équipe urugayenne s'entraînait, dernièrement encore, dans les couloirs du stade national.

Mais après des années sans lieu défini d'entraînement, la Fédération, dirigée par Dante Steffano, a enfin trouvé demeure.

Grâce au précieux soutien du Secrétariat National aux Sports et du Comité Olympique Urugayen, le premier Centre d'entraînement de sports de combats a été inauguré le 30 septembre 2019, un centre dans lequel un espace est dédié au programme de lutte.

United World Wrestling s'était associé en 2017 à l'initiative des fédérations de lancer plus de programmes de lutte, recevoir plus de tapis de lutte et développer une série de plans d'action afin de promouvoir la lutte dans les écoles et auprès des jeunes.

Cliquez ICI pour plus d'informations sur la Fédération Urugayenne de Lutte.

5. Le Championnat du Monde des Vétérans entamé à Tbilissi, capitale de la Géorgie 
Lundi passé à Tbilissi, la capitale de la Géorgie, plus de 600 lutteurs vétérans venus de 49 pays sont entrés dans leur quête d'un titre de champion du monde 2019. La compétition de lutte libre et de lutte gréco-romaine, d'une durée de cinq jours, prendra fin dimanche.

Deux événements d'importance sont prévus pour les prochaines semaines : les Jeux Mondiaux de Beach Wrestling, à Doha, au Quatar, les 14 et 15 octobre tout d'abord, puis le Championnat du Monde des U23 de Budapest en Hongrie le 28, où 631 athlètes venus de 64 pays monteront sur les tapis.

L'Hebdo dans les réseaux !

1. Big Move(s) Monday -- Mondiaux Vétérans 2015
2. Qui est votre champion du monde favori ?
3. Dans les coulisses : la route vers l'or des 53kg au championnat du monde
4. Plus grande surprise aux mondiaux ? 
5. Quand vous comprenez que la Lutte à @tokyo2020 commence dans 300 jours !